🐉 Ils Étaient Dix Résumé Chapitre Par Chapitre

Ilétait flatteur pour moi d’être associé dans un grand travail historique avec les plus illustres écrivains de l’Angleterre; mais je mettais plus de prix encore, au moment où les droits des nations sont pesés de nouveau dans la balance de l’opinion publique, au moment où la diplomatie et la guerre ont été tour à tour invoquées pour rendre* ou, enlever aux peuples la faculté Résumédétaillé, les personnages, la chanson, les stratégies de lecture du roman policier "Dix petits nègres" -Agatha Christie . Prépare tes examens. Obtiens points. Guides et conseils. Gagne du fric sur Docsity. NEW. Connexion Créer un compte. Résumés. Agatha Christie, Dix petits nègres: résumé détaillé et les personnages , Résumés de Littérature. Uneéquipe de film se fait attaquer par des inconnus. Ils emmènent de force deux techniciens (dont Arnaud joué par Baptiste Lecaplain, ci-dessous) à « la chapelle ». Là-bas, le pasteur Joseph entame le culte, qui doit se terminer par le suicide collectif des 900. Evanouissementde l’enfant. Chapitre II : Le Msid, un espace étouffant ( le mardi est un jour néfaste pour les élèves du Msid, car ils doivent réciter les quelques chapitres du Coran qu’ils avaient appris). Visite de Lalla Aicha : Lalla Zoubida souffre d’une terrible migraine + La pâleur de Sidi Mohamed. Chapitre1 Je ne m’appelle pas « 13-NRV ». Mon vrai prénom est Paul, mais comme tout le monde dans mon école, j’avais hérité d’un surnom qui correspondait à la fin de mon code-barres. Le mien, on me l’avait tatoué dans la paume de la main lorsque j’étais entré à la petite école et il s’écrivait XWZ1972W13-NRV. Je le Résumé Détails. Ils sont dix à avoir reçu l’invitation : des vacances d’été sur l’île du Soldat ! Voilà une proposition à laquelle personne ne saurait résister. Non seulement c’est gratuit, mais l’île a tant fait parler d’elle ! Chacun se demande qui est son nouveau propriétaire – une star d’Hollywood, un Ilsont emmené Paul et Silas devant les dirigeants de leur ville. Ils ont dit que Paul et Silas causaient des problèmes. Les dirigeants ont fait fouetter Paul et Silas et les ont mis en prison. Cette nuit-là, Paul et Silas ont prié et chanté des cantiques à notre Père céleste. Tout le monde dans la prison les a entendus. Chapitre1: Au-delà de l'image-mouvement une question profonde, comme chez Kurosawa. Les espaces d'Ozu sont élevés à l'état d'espaces quelconques, soit par déconnexion, soit par vacuité comme chez Antonioni. Les faux-raccords de regard, de direction et même de positions d'objets sont constants, systématiques. Un cas de mouvement d'appareil donne un bon Deuxièmesection: les dix commandements Chapitre I : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme et de tout ton esprit » Le premier commandement: Je suis le Seigneur ton Dieu. Le deuxième commandement : Tu ne prononceras pas le nom de Dieu en vain Le troisième commandement : Se souvenir de sanctifier les jours festifs Chapitre II : « Tu PrimoLévi est un jeune juif italien de 24 ans. Il s’est engagé avec quelques amis dans la résistance contre le fascisme et le nazisme. Il est arrêté le 13 décembre 1943 avec ses camarades de la Giustizia e Libertà, par la milice fasciste . Il est d'abord interné à Fossoli, puis en tant que juif, il sera déporté, en février 1944 chapitrenm (division d'un texte) capítulo nm : Ce livre est divisé en cinq chapitres. Este libro está dividido en cinco capítulos. chapitre nm (assemblée) (religión) capítulo nm : Les religieuses du couvent se réunissent en chapitre. Las religiosas del convento se reúnen en capítulo. chapitre nm (parole, fait de s'exprimer) palabra Unhôte anonyme choisit dix personnes, en raison de leur passé criminels, et les invite à venir passer quelques jours dans une belle demeure située sur une île déserte, battue par les vents et les tempêtes. Chacun d’entre eux se fera assassiner, sur fond de comptine enfantine, et il faudra attendre l’épilogue pour connaître le nom du meurtrier. Agatha Christie nous fait Chapitre1 Lors d’une virée dans l’espace, Phillys et Jinn trouvent une bouteille qui contient un message écrit dans une langue étrangère. Chapitre 2 Cette lettre raconte l’histoire d’un voyage d’exploration vers l’étoile Bételgeuse en l’an 2500. Le groupe est composé du professeur Antelle, de Ulysse Mérou et d’Arthur Levain. Car tout en étant tout à fait conscient de la lenteur et des difficultés de sa progression, tout en sachant bien qu'elle était et qu'elle resterait toujours exposée, par moments, à de brusques et à de terribles retours en arrière, il croyait d'une manière générale, à une marche en avant de l'humanité, comme en témoignent, par exemple, ces lignes où, après avoir rappelé que le nominationaux différentes magistratures) était partagée en dix prytanies, Les citoyens d’Athènes étaient répartis en 10 tribus. Chaque prytanie est donc associée à une tribu. Rq : l'année ordinaire comptait 354 jours Pour ne pas se décaler, les Athéniens ont régulièrement des QEB7yC. Cet article concerne les liens complets de The Amazing Son in Law. Vous trouverez les liens vers tous les chapitres directement sur cette page. Vous pouvez vous abonner à notre site Web et obtenir gratuitement les dernières mises à jour sur les publications des derniers chapitres et romans. Vous aimez lire le roman? Veuillez nous soutenir Présentation de The Amazing Son in Law Novel Ce roman parle de cupidité, d'égoïsme, d'arrogance et des autres personnages humains de base de la manipulation et du curry favorisant. Chaque aspect de la nature humaine porte son contraire. The amazing gendre téléchargement PDF gratuit par Lord Leaf Vous pouvez lire le roman ici sur le site. Vous devez simplement vous abonner au blog et lire le roman en ligne au lieu de télécharger le PDF du roman. Vous pouvez vous abonner ici Le monde est en effet en état de guerre entre le mauvais et le bien, le mal et le noble. Quand d'un côté, il n'y a rien d'autre que la cupidité. Vous trouverez en revanche générosité et pardon. La souffrance s'accompagne de la croissance de la tranquillité et de la patience humaines. En lisant l'histoire de The Amazing Son in Law, il vous apparaîtra que peu importe la façon dont le monde vous traite, attendez le jour où il favorise chacun de vos mouvements. Chapitre 01 à 1000 Lisez les chapitres 01 à 1000 du roman en utilisant le lien ci-dessous; Chapitre 1001 à 2000 Lisez les chapitres 1001 à 2000 du roman en utilisant le lien ci-dessous ; Chapitre 2001 à 3000 Utilisez le lien ci-dessous pour lire les chapitres 2001 à 3000 du Lord Leaf Novel ; Chapitre 3001 à 4000 Lien ci-dessous; Chapitre 4001 à 5000 Voici le lien à lire des chapitres 4001 à 5000 de ce roman The Amazing Son in Law Roman Lire en ligne Voulez-vous lire le roman chinois complet écrit par Lord Leaf ? si vous le faites, voici le lien vers chaque chapitre auquel vous souhaitez accéder. Vous pouvez commencer depuis le début ou sauter à n'importe quelle section. Une chose à garder à l'esprit est que le gendre Incroyable les noms des personnages principaux ont été modifiés. Alors que le scénario et l'intrigue du roman restent tels qu'ils sont. Alors profitez de votre lecture et n'oubliez pas de partager ceci avec vos amis. Antigone appartient aux légendes attachées à la ville de Thèbes. Elle est l’une des enfants nés de l’union incestueuse du roi de Thèbes Œdipe et de sa propre mère, Jocaste . Antigone est la sœur d’Ismène, d’Etéocle et de Polynice. Elle fait preuve d’un dévouement et d’une grandeur d’âme sans pareils dans la son père est chassé de Thèbes par ses frères et quand, les yeux crevés, il doit mendier sa nourriture sur les routes, Antigone lui sert de guide. Elle veille sur lui jusqu’à la fin de son existence et l’assiste dans ses derniers Antigone revient à Thèbes. Elle y connaît une nouvelle et cruelle épreuve. Ses frères Etéocle et Polynice se disputent le pouvoir. Ce dernier fait appel à une armée étrangère pour assiéger la ville et combattre son frère Etéocle. Après la mort des deux frères, Créon, leur oncle prend le pouvoir . Il ordonne des funérailles solennelles pour Etéocle et interdit qu’il soit donné une sépulture à Polynice, coupable à ses yeux d’avoir porté les armes contre sa patrie avec le concours d’étrangers. Ainsi l’âme de Polynice ne connaîtra jamais de repos. Pourtant Antigone, qui considère comme sacré le devoir d’ensevelir les morts, se rend une nuit auprès du corps de son frère et verse sur lui, selon le rite, quelques poignées de terre. Créon apprend d’un garde qu’Antigone a recouvert de poussière le corps de Polynice. On amène Antigone devant lui et il la condamne à mort. Elle est enterrée vive dans le tombeau des Labdacides . Plutôt que de mourir de faim, elle préfère se fils de Créon et fiancé d’Antigone se suicide de désespoir . Eurydice , l’épouse de Créon ne peut supporter la mort de ce fils qu’elle adorait et met fin elle aussi à ses pièce de Sophocle 441 avant Jésus-Christ commence lorsqu’Antigone décide de braver l’interdiction de son oncle Créon et d’ensevelir le corps de son frère de ce texte de Sophocle que va s’inspirer Anouilh pour écrire Antigone en 1942 ” l’Antigone de Sophocle, lue et relue et que je connaissais par cœur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre , le jour des petites affiches rouges. Je l’ai réécrite à ma façon , avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre”.Cette pièce , créée en 1944, connaît un immense succès public mais engendre une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l’ordre établi en faisant la part belle à Créon . Ses défenseurs , au contraire , voient dans Antigone la “première résistante de l’histoire” et dans la pièce un plaidoyer pour l’esprit de Le Prologue, personnage héritier du chef de choeur, présente les protagonistes, leurs caractères et leurs rôles Antigone, sa soeur Ismène, son fiancé Hémon, le roi Créon qui est aussi le père d’Hémon, Eurydice la femme de Créon, la nourrice d’Antigone, le messager et enfin les trois gardes. Antigone rentre chez elle, à l’aube, après une promenade nocturne, elle est surprise par sa nourrice qui lui adresse quelques reproches. La nourrice sort et Ismène dissuade Antigone d’ensevelir le corps de son frère Polynice et ainsi d’enfreindre l’ordre de Créon. Sans succès, Antigone n’entend pas devenir raisonnable. Antigone se retrouve à nouveau seule avec sa nourrice, elle pense à la mort, la nourrice la réconforte. Ensuite arrive Hémon à qui elle prie de lui pardonner pour la dispute de la veille. Hémon la réconforte en lui déclarant son amour. Antigone lui annonce ensuite qu’elle ne pourra pas l’épouser en lui disant qu’il saura pourquoi “demain”. Ismène essaie encore une fois de convaincre Antigone de renoncer à son projet, mais elle apprend qu’il a déjà débuté. Un des garde du roi arrive alors pour annoncer à Créon que quelqu’un à recouvert de terre le corps de Polynice. Créon ne veut pas que la nouvelle se répande. Le choeur intervient pour donner sa vision de la tragédie et annonce le “petit coup de pouce pour que cela démarre”. Antigone se fait arrêter par un garde pendant qu’elle recouvre pour la seconde fois le cadavre, elle est emmenée chez Créon qui est prêt à la sauver et oublier l’affaire. Antigone refuse et se révolte, elle veut sa mort. Ismène arrive, elle veut mourir avec sa soeur, elle est prête aussi à aller recouvrir le corps de Polynice mais Antigone refuse. Créon appelle la garde qui emmène Antigone. Hémon supplie son père de l’épargner mais il refuse car c’est elle qui voulait mourir. Hémon s’enfuit. Antigone reste seule avec un garde, elle lui dicte une lettre qu’elle veut adresser à Hémon. Le messager annonce la mort d’Antigone ainsi que celle d’Hémon. Le Choeur apprends ensuite à Créon que sa femme Eurydice s’est donnée la mort en apprenant la mort de son fils. Il ne reste plus que Créon et ses gardes…Les personnages principauxAntigone Fille d’OEdipe Le Prologue nous la décrit comme la petite “maigre jeune fille noiraude” p. 9. D’après Ismène “Pas belle comme nous, mais autrement” p. 29, d’après sa nourrice “elle n’est pas assez coquette !” p. 17 et d’après elle-même “je suis laide !” p. 96, “je suis noire et maigre” p. 41. Antigone aurait voulu être un garçon “Ai-je assez pleuré d’être une fille !” p. 29. Antigone aime la vie “Qui se levait la première, le matin, rien que pour sentir l’air froid sur sa peau nue ?” p. 28, “Moi aussi j’aurais bien voulu ne pas mourir.” p. 24 et elle veut garder ses joies et ses illusions d’enfance. C’est une fille rebelle “Une fois je t’ai attachée à un arbre et je t’ai coupé tes cheveux, tes beaux cheveux…” p. 22, “la petite Antigone, la sale bête, l’entêtée, la mauvaise [...]. Elle n’avait qu’à ne pas désobéir!” p. 25, c’est celle qui dit non et ne veux comprendre “Il fallait comprendre qu’on ne doit pas manger tout à la fois, donner tout ce qu’on a dans ses poches au mendiant qu’on rencontre [...]. Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas comprendre.” p. 26. Elle déteste aussi l’habitude “s’il ne doit plus me croire morte quand je suis en retard de cinq minutes, [...], alors je n’aime plus Hémon!” p. 93. Quelques instants avant de mourir, elle ne sais plus pourquoi elle meurt “Je ne sais plus pourquoi je meurs.” p. 115, elle est morte pour rien, si ce n’est pour offrir une réflexion sur la vie…Créon Roi de Thèbes, oncle d’ Prologue nous le présente comme étant un “homme robuste, aux cheveux blancs [...]. Il a des rides, il est fatigué.” p. 11. Le Prologue nous présente Créon comme un homme seul “Créon est seul”, sa femme Eurydice “ne lui est d’aucun secours” p. 11, son page “ne peut rien non plus pour lui” p. 12 et à la fin de la tragédie le Choeur lui dit “Et tu es tout seul maintenant, Créon.” p. 121. C’est un homme courageux, il a dû assumer le métier de roi “Mais OEdipe et ses fils sont morts. Il a laissé ses livres, ses objets, il a retroussé ses manches et il a pris leur place.” “Un matin, je me suis réveillé roi de Thèbes. Et Dieu sait si j’aimais autre chose dans la vie que d’être puissant…” p. 78. Il fait son travail du mieux qu’il peut “des problèmes précis se posent, qu’il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme un ouvrier au seuil de sa journée.” p. 11. Il a de l’affection pour sa nièce Antigone mais ne la comprend pas, il va même essayer de la sauver “je vais tout de même perdre le temps qu’il faudra et te sauver, petite peste.” p. 76. Après l’exécution d’Antigone qu’il a été contraint d’entreprendre et qui a entrainée la mort de son fils et de sa femme, il continue son travail quotidien “Eh bien, si nous avons conseil, petit, nous allons y aller.” p. 122. Après avoir ordonné la mort, il attend la sienne “Créon va commencer à attendre la mort” p. 123. Pour lui, tout est absurde…Hémon Fils de Créon, fiancé d’ prince vigoureux. Il refuse de devenir un homme comme son père “Regarde-moi, c’est cela devenir un homme, voir le visage de son père en face, un jour.” p. 105, il veut rester enfant. Il pense que son père peut tout faire “Tu es le maître” p. 102, “Tu es encore puissant, toi, comme lorsque j’était petit.”, “Je suis trop seul et le monde est trop nu si je ne peux plus t’admirer.” p. 104. Lors de la mort d’Antigone qu’il ne supporte pas, “Hémon [...] se plonge l’épée dans le ventre et il s’étend contre Antigone” p. 119.Ismène Soeur d’Antigone. Belle jeune fille charmante et coquette aux yeux d’Antigone, elle aime aller au bal “Cela me rassure ce matin, que tu sois belle.”, “et je t’ai coupé tes cheveux, tes beaux cheveux…”, “toutes ces belles mèches lisses et bien ordonnées autour de la tête !” p. 22, “Ismène est rose et dorée comme un fruit.” p. 41. Elle n’est pas courageuse et a peur de mourir “Moi, tu sais, je ne suis pas très courageuse” p. 27, “Et souffrir ? Il faudra souffrir, sentir que la douleur monte, qu’elle est arrivée au point où l’on ne peut plus la supporter; qu’il faudrait qu’elle s’arrête, mais qu’elle continue pourtant et monte encore, comme une voix aiguë… Oh! je ne peux pas, je ne peux pas…”. Elle souhaite raisonner sa soeur “Essaie de comprendre au moins !” p. 25. Pourtant à la fin de la pièce Ismène veut accompagner sa soeur dans la mort “Antigone, pardon ! Antigone, tu vois, je viens, j’ai du courage. J’irai maintenant avec toi !” p. 97, “Si vous la faites mourir, il faudra me faire mourir avec elle !” p. 97. Biographie de Jean Anouilh Jean Anouilh est né en 1910 à Bordeaux France. Son père est tailleur et sa mère musicienne ainsi que professeur de piano, elle joue dans un orchestre se produisant sur des scènes de casino en province. C’est dans les coulisses de ces casinos qu’il découvre les grands auteurs classiques Molière , Marivaux et Musset. Jean Anouilh vit à Paris et rentre au collège Chaptal. C’est très tôt qu’il se prend de passion pour le théâtre . En 1928, il assiste émerveillé, au printemps, à la représentation de Siegfried de Jean Giraudoux, l’adolescent de dix-huit ans fut ébloui, subjugué… En 1929 il devient le secrétaire de Louis Jouvet. Les relations entre les deux hommes sont tendues. Qu’importe, son choix est fait, il vivra pour et par le théâtre. Sa première pièce, l’Hermine 1932, lui offre un succès d’estime, et il faut attendre 1937 pour qu’il connaisse son premier grand succès avec le Voyageur sans bagages . L’année suivante le succès de sa pièce la Sauvage confirme sa notoriété et met fin à ses difficultés matérielles. Puis éclate la seconde guerre mondiale. Pendant l’occupation, Jean Anouilh continue d’écrire. Il ne prend position ni pour la collaboration, ni pour la résistance. Ce non-engagement lui sera reproché. En 1944 est créé Antigone. Cette pièce connaît un immense succès public mais engendre une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l’ordre établi en faisant la part belle à Créon . En 1945, il s’engage pour essayer de sauver l’écrivain collaborateur Robert Brasillach de la peine de mort; en vain. Cette exécution le marque profondément. Il écrira encore plusieurs pièces dans les années soixante-dix, dont certaines lui vaudront le qualificatif “d’auteur de théâtre de distraction”. Il n’en reste pas moins qu’il a bâti une oeuvre qui révèle un pessimisme profond. Anouilh est mort en 1987. Résumés des chapitres Submitted by Anonyme non vérifié Chaque chapitre se conclut à l'origine par un résumé. Les voici. Résumé du chapitre 1. Le Parti ouvrier social-démocrate marxiste de Russie s’est formé dans la lutte d’abord contre le populisme, contre ses conceptions erronées et nuisibles à la cause de la révolution. C’est seulement quand les populistes eurent été battus dans le domaine idéologique, qu’il fut possible de déblayer le terrain pour la création d’un parti ouvrier marxiste de Russie. En 1880-1890, Plékhanov et son groupe Libération du Travail » avaient porté un coup décisif au populisme. En 1890-1900, Lénine achève la mise en déroute idéologique du populisme ; il lui donne le coup de grâce. Le groupe Libération du Travail », fondé en 1883, réalisa un travail important pour diffuser le marxisme en Russie ; il donna une base théorique à la social-démocratie et fit le premier pas au-devant du mouvement ouvrier. Avec le développement du capitalisme en Russie, les effectifs du prolétariat industriel sont en progression rapide. Vers 1885, la classe ouvrière s’engage dans la voie d’une lutte organisée, dans la voie d’une action de masse sous forme de grèves organisées. Mais les cercles et groupes marxistes ne s’occupaient que de propagande ; ils ne comprenaient pas la nécessité de passer à l’agitation de masse dans la classe ouvrière. C’est ce qui fait qu’ils n’étaient pas encore pratiquement liés au mouvement ouvrier, qu’ils ne dirigeaient pas. La fondation par Lénine de l’ Union de lutte pour la libération de la classe ouvrière » à Pétersbourg 1895, Union qui déploya une agitation de masse parmi les ouvriers et dirigea les grèves de masse, marqua une nouvelle étape, le passage à l’agitation de masse parmi les ouvriers et la fusion du marxisme avec le mouvement ouvrier. L’ Union de lutte pour la libération de la classe ouvrière » à Pétersbourg fut le premier embryon du parti prolétarien révolutionnaire de Russie. À la suite de l’ Union de lutte » de Pétersbourg, des organisations marxistes furent crées dans tous les principaux centres industriels, de même qu’à la périphérie du pays. En 1898, le Ier congrès du POSDR se réunit, première tentative, du reste infructueuse, pour grouper les organisations social-démocrates marxistes au sein d’un parti. Mais ce congrès ne fonda pas encore le parti il n’y avait ni programme, ni statuts du parti, ni direction émanant d’un centre unique ; il n’y avait presque aucune liaison entre les différents cercles et groupes marxistes. C’est pour grouper et lier entre elles, au sein d’un seul parti, les organisations marxistes disséminées, que Lénine établit et réalisa le plan de fondation du premier journal des marxistes révolutionnaires pour toute la Russie, l’Iskra. Dans cette période, les économistes » étaient les principaux adversaires de la création d’un parti politique ouvrier unique. Ils niaient la nécessité d’un tel parti. Ils entretenaient la dispersion des différents groupes et leurs habitudes de travailler à la mode artisanale. C’est contre les économistes » que Lénine et l’Iskra fondée par lui dirigèrent leurs coups. La publication des premiers numéros de l’Iskra 1900-1901 marqua la transition à une période nouvelle, à la période de formation effective avec les groupes et cercles dispersés, du Parti ouvrier social-démocrate unique de Russie. Résumé du chapitre 2. Pendant la période de 1901 à 1904, à la faveur de l’essor du mouvement ouvrier révolutionnaire, on voit grandir et se renforcer les organisations social-démocrates marxistes de Russie. Dans une opiniâtre lutte de principe contre les économistes », la ligne révolutionnaire de l’Iskra de Lénine triomphe ; la confusion idéologique et le travail à la mode artisanale » sont vaincus. L’Iskra relie entre eux les cercles et groupes social-démocrates dispersés et prépare le IIe congrès du Parti. À ce congrès, en 1903, se forme le Parti ouvrier social-démocrate de Russie ; on en adopte le programme et les statuts, on forme les organismes centraux dirigeants du Parti. Dans la lutte qui se déroule au IIe congrès pour la victoire définitive de l’orientations iskriste à l’intérieur du POSDR, deux groupes font leur apparition celui des bolchéviks et celui des menchéviks. Les divergences essentielles entre bolchéviks et menchéviks à la suite du IIe congrès s’enveniment autour des questions d’organisation. Les menchéviks se rapprochent des économistes » et prennent la place de ceux-ci dans le Parti. L’opportunisme des menchéviks se manifeste, pour l’instant, dans les questions d’organisation. Les menchéviks sont contre le Parti révolutionnaire de combat du type léniniste. Ils sont pour un Parti aux contours vagues, pour un parti inorganisé, suiviste. Ils appliquent une ligne de scission dans le Parti. Secondés par Plékhanov, ils s’emparent de l’Iskra et du Comité central ; ils utilisent ces centres à des fins de scission. Devant la menace de scission émanant des menchéviks, les bolchéviks prennent des mesures pour mettre au pas les scissionnistes ; ils mobilisent les organisations locales pour la convocation du IIIe congrès, et éditent leur journal V périod. C’est ainsi qu’à la veille de la première révolution russe, à un moment où a déjà commencé la guerre russo-japonaise, les bolchéviks et les menchéviks s’affirment comme des groupes politiques distincts. Résumé du chapitre 3. La première révolution russe marque toute une période historique dans le développement de notre pays. Cette période historique comporte deux phases la première, quand la révolution s’élève de la grève politique générale d’octobre à l’insurrection armée de décembre, en mettant à profit la faiblesse du tsar qui essuyait des défaites sur les champs de bataille de Mandchourie, en balayant la Douma de Boulyguine et en arrachant au tsar concession sur concession ; la seconde phase, quand le tsar, ayant rétabli sa situation après la signature de la paix avec le Japon, exploite la peur de la bourgeoisie libérale devant la révolution, exploite les hésitations de la paysannerie, leur jette comme une aumône la Douma de Witle et passe à l’offensive contre la classe ouvrière, contre la révolution. En quelque trois années de révolution 1905-1907, la classe ouvrière et la paysannerie acquièrent une riche éducation politique que n’auraient pu leur donner trente années de développement pacifique ordinaire. Quelques années de révolution avaient rendu évidentes des choses que n’auraient pas suffi à rendre évidentes des dizaines d’années de développement pacifique. La révolution montra que le tsarisme était l’ennemi juré du peuple, qu’il était ce renard dont on dit qu’il mourra dans sa peau. La révolution montra que la bourgeoisie libérale recherchait une alliance non pas avec le peuple, mais avec le tsar ; qu’elle était une force contre-révolutionnaire et qu’une entente avec elle équivalait à trahir le peuple. La révolution montra que seule la classe ouvrière peut être le chef de la révolution démocratique bourgeoise ; qu’elle seule est capable de refouler la bourgeoisie cadette libérale, de soustraire à son influence la paysannerie, d’anéantir les propriétaires fonciers, de mener la révolution jusqu’au bout et de déblayer le chemin pour le socialisme. La révolution, montra enfin que la paysannerie travailleuse, en dépit de ses hésitations, n’en est pas moins l’unique force sérieuse qui soit capable d’accepter une alliance avec la classe ouvrière. Deux lignes se sont affrontées dans le pendant la révolution la ligne bolchévique et la ligne menchévique. Les bolchéviks visaient à développer la révolution, à renverser le tsarisme par l’insurrection armée, à réaliser l’hégémonie de la classe ouvrière, à isoler la bourgeoisie cadette, à établir l’alliance avec la paysannerie, à créer un gouvernement révolutionnaire provisoire composé des représentants des ouvriers et des paysans, à mener la révolution jusqu’à la victoire finale. Les menchéviks, au contraire, visaient à contenir la révolution. Au lieu du renversement du tsarisme par l’insurrection, ils en proposaient la réforme et l’ amélioration » ; au lieu de l’hégémonie du prolétariat, l’hégémonie de la bourgeoisie libérale ; au Heu d’une alliance avec la paysannerie, l’alliance avec la bourgeoisie cadette ; au lieu d’un gouvernement révolutionnaire provisoire, la Douma d’État comme centre des forces révolutionnaires » du pays. C’est ainsi que les menchéviks ont roulé dans le marais de la conciliation et sont devenus les porte-parole de l’influence bourgeoise dans la classe ouvrière ; ils sont devenus, en fait, les agents de la bourgeoisie dans la classe ouvrière. Les bolchéviks se trouvèrent constituer l’unique force marxiste révolutionnaire dans le Parti et dans le pays. On conçoit qu’après d’aussi graves divergences, le se soit trouvé pratiquement scindé en deux partis le Parti bolchévik et le parti menchévik. Le IVe congrès du Parti ne changea rien à la situation de fait qui régnait à l’intérieur du Parti. Il ne put que maintenir et consolider un peu l’unité formelle du Parti. Le Ve congrès fit un pas en avant vers l’unification effective du Parti, et cette unification se réalisa sous le drapeau du bolchévisme. En dressant le bilan du mouvement révolutionnaire, le Ve congrès du Parti condamna la ligne menchévique comme une ligne de conciliation, et approuva la ligne bolchévique comme la ligne marxiste révolutionnaire. Ce faisant, il confirmait une fois de plus ce qui avait été déjà confirmé dans le cours de la première révolution russe. La révolution a montré que les bolchéviks savent prendre l’offensive quand la situation le commande ; qu’ils ont appris à marcher aux premiers rangs et à conduire derrière eux le peuple à l’assaut. Mais la révolution a montré, en outre, que les bolchéviks savent aussi se replier en bon ordre, quand la situation devient défavorable, quand la révolution décroît ; que les bolchéviks ont appris à reculer dans les règles, sans panique ni précipitation, afin de conserver les cadres, de rassembler leurs forces et, après avoir reformé leurs rangs en tenant compte de la nouvelle situation, de reprendre l’offensive. On ne peut vaincre l’ennemi sans savoir bien conduire l’offensive. On ne peut éviter la débâcle en cas de défaite, si l’on ne sait se replier dans les règles, se replier sans panique et en bon ordre. Résumé du chapitre 4. Les années 1908-1912 furent une période très difficile pour l’action révolutionnaire. Après la défaite de la révolution, au mo­ment où le mouvement révolutionnaire déclinait et où les masses étaient en proie à la lassitude, les bolchéviks changèrent de tactique en passant de la lutte directe contre le tsarisme, aux, voies détournées. C’est ainsi que dans les conditions pénibles de la réaction stolypinienne, ils exploitèrent les moindres possibili­tés légales pour maintenir la liaison avec les masses depuis les caisses d’assurance et les syndicats jusqu’à la tribune de la Douma. Inlassablement, les bolchéviks travaillaient à rassembler les forces en vue d’un nouvel essor du mouvement révolutionnaire. Dans les dures conditions créées par la défaite de la révolu­tion, la désagrégation des courants d’opposition, la déception à l’égard de la révolution et le renforcement des attaques révision­nistes des intellectuels détachés du Parti Bogdanov, Bazarov et autres contre les fondements théoriques du Parti, les bolchéviks furent l’unique force, les seuls à ne pas baisser le drapeau du Parti, à rester fidèles au programme et à repousser les attaques des critiques » de la théorie marxiste ouvrage de Lénine Matérialisme et empiriocriticisme. La trempe idéologique marxiste-léniniste, la compréhension des perspectives de la révolution, aidèrent le noyau fondamental des bolchéviks groupés autour de Lénine à sauvegarder le Parti et ses principes révolutionnaires. Ce n’est pas sans raison qu’on a dit de nous fermes comme le roc », disait Lénine en parlant des bolchéviks. Les menchéviks, à cette époque, abandonnent de plus en plus la révolution. Ils deviennent des liquidateurs ; ils exigent que le Parti révolutionnaire illégal du prolétariat soit liquidé, supprimé ; ils répudient de plus en plus ouvertement le programme du Parti, ses objectifs et ses mots d’ordre révolutionnaires. Ils tentent d’organiser un parti à eux, un parti réformiste, que les ouvriers baptisent du nom de parti ouvrier de Stolypine ». Trotski soutient les liquidateurs, en se retranchant pharisaïquement derrière le mot d’ordre d’ unité du parti », qui signifie en réalité unité avec les liquidateurs. D’autre part, certains bolchéviks, qui n’ont pas compris la nécessité d’emprunter de nouvelles voies, des voies détournées, pour lutter contre le tsarisme, demandent que l’on renonce à uti­liser les possibilités légales, que l’on rappelle les députes ouvriers de la Douma d’État. Les otzovistes poussent le Parti à se détacher des masses ; ils gênent le rassemblement des forces en vue d’un nouvel essor révolutionnaire. Sous le couvert d’une phraséologie gauchiste, les otzovistes, de même que les liquidateurs, renoncent en fait à la lutte révolutionnaire. Les liquidateurs et les otzovistes constituent contre Lénine un bloc, dit bloc d’Août, organisé par Trotski. Dans la lutte contre les liquidateurs et les otzovistes, dans la lutte contre le bloc d’Août, les bolchéviks prennent le dessus et sauvent le Parti prolétarien illégal. L’événement capital de cette période est la conférence du tenue à Prague en janvier 1912. Cette conférence chas­se les menchéviks du Parti ; on en finit pour toujours avec l’unité officielle des bolchéviks et des menchéviks dans un seul et même parti. De groupe politique qu’ils étaient, les bolchéviks se constituent en un parti indépendant, le Parti ouvrier social-démocrate bolchévik de Russie. La conférence de Prague mar­que la naissance d’un parti d’un type nouveau, le parti du léninisme, le Parti bolchévik. L’épuration du Parti prolétarien des éléments opportunistes, des menchéviks, réalisée par la conférence de Prague, a joué un rôle important, un rôle décisif pour le développement ultérieur du Parti et de la révolution. Si les bolchéviks n’avaient pas chas­sé du Parti les menchéviks-conciliateurs, traîtres à la cause ouvrière, le parti prolétarien n’aurait pas pu, en 1917, soulever les masses pour la conquête de la dictature du prolétariat. Résumé du chapitre 5. Dans les années du nouvel essor révolutionnaire 1912 à 1911, le Parti bolchévik s’est mis à la tête du mouvement ouvrier et l’a conduit sous les mots d’ordre bolchéviks vers une nouvelle révolution Le Parti a su allier le travail illégal à l’action légale. Brisant la résistance des liquidateurs et de leurs amis, les trotskistes et les otzovistes, il a pris possession de toutes les formes du mouvement légal, et fait des organisations légales les points d’ap­pui de son activité révolutionnaire. Dans sa lutte contre les ennemis de la classe ouvrière et leurs agents au sein du mouvement ouvrier, le Parti a consolidé ses rangs et élargi ses liaisons avec la classe ouvrière. En utilisant à fond la tribune de la Douma pour faire l’agitation révolutionnaire et en créant un remarquable journal ouvrier de masse, la Pravda, le Parti a formé une nouvelle génération d’ouvriers révolutionnaires les pravdistes ». Dans les années de guerre impérialiste, ce contingent d’ouvriers resta fidèle au drapeau de l’internationalisme et de la révolution prolétarienne. C’est lui encore qui forma le noyau du Parti bolchévik aux jours de la Révolution d’Octobre, en 1917. À la veille de la guerre impérialiste, c’était le Parti qui dirigeait l’action révolutionnaire de la classe ouvrière. Ces combats d’avant-garde interrompus par la guerre, devaient reprendre trois ans plus tard, pour renverser le tsarisme. Le Parti bolchévik entra dans la dure période de la guerre impérialiste en tenant bien haut le drapeau de l’internationalisme prolétarien. Résumé du chapitre 6. La guerre impérialiste éclata par suite de l’inégalité du déve­loppement des pays capitalistes, par suite de la rupture de l’équi­libre entre les principales puissances, la nécessité s’étant affirmée pour les impérialistes de procéder par la guerre à un nouveau partage du monde et d’établir un nouvel équilibre des forces. La guerre n’aurait pas eu la même force de destruction, peut-être même ne se serait-elle pas déployée avec la même violence, si les partis de la IIe Internationale n’avaient pas trahi la cause de la classe ouvrière, s’ils n’avaient pas violé les déci­sions des congrès de la IIe Internationale contre la guerre, s’ils s’étaient décidés à réagir énergiquement et à dresser la classe ouvrière contre les gouvernements impérialistes, contre les fau­teurs de guerre. Le Parti bolchévik fut le seul parti prolétarien qui resta fi­dèle à la cause du socialisme et de l’internationalisme et qui dé­clencha la guerre civile contre son gouvernement impérialiste. Tous les autres partis de la IIe Internationale, liés comme ils l’étaient avec la bourgeoisie par leurs groupes dirigeants, se trouvèrent sous l’emprise de l’impérialisme et rallièrent le camp impérialiste. La guerre, qui était un effet de la crise générale du capita­lisme, aggrava cette crise et affaiblit le capitalisme mondial. Les ouvriers de Russie et le Parti bolchévik furent les premiers dans le monde qui surent exploiter la faiblesse du capitalisme, enfon­cer le front de l’impérialisme, renverser le tsar et créer des So­viets de députés ouvriers et soldats. Grisées par les premiers succès de la révolution et rassurées par les promesses des menchéviks et des socialistes-révolution­naires, qui prétendaient que désormais tout irait bien, les gran­des masses de petits bourgeois, de soldats et aussi d’ouvriers se pénétrèrent de confiance dans le Gouvernement provisoire et lui donnèrent leur appui. Une tâche s’imposait au Parti bolchévik expliquer aux masses d’ouvriers et de soldats grisés par les premiers succès qu’on était encore loin de la victoire totale de la révolution ; qu’aussi longtemps que le pouvoir serait détenu par le Gouverne­ment provisoire bourgeois et que les conciliateurs menchéviks et socialistes-révolutionnaires régneraient dans les Soviets, le peuple n’aurait ni paix, ni terre, ni pain ; que pour vaincre définitive­ment, il était indispensable de faire encore un pas en avant, de re­mettre le pouvoir aux Soviets. Résumé du chapitre 7. En huit mois, de février à octobre 1917, le Parti bolchévik s’acquitte d’une tâche des plus difficiles il conquiert la majorité dans la classe ouvrière, dans les Soviets ; il fait passer du côté de la révolution socialiste des millions de paysans. Il arrache ces masses à l’influence des partis petits-bourgeois socialistes-révolu­tionnaires, menchéviks, anarchistes ; il démasque pas à pas la politique de ces partis dirigée contre les intérêts des travailleurs. Le Parti bolchévik déploie une activité politique intense sur le front et à l’arrière, préparant les masses à la Révolution socialiste d’Octobre. Facteurs décisifs dans l’histoire du Parti pendant cette période retour de Lénine de l’émigration, thèses d’Avril de Lénine, confé­rence d’Avril et VIe congrès du Parti. La classe ouvrière puise dans les décisions du Parti la force et la certitude de la victoire ; elle y trouve une réponse aux plus graves problèmes de la révolution. La conférence d’Avril oriente le Parti vers la lutte pour le passage de la révolution démocratique bourgeoise à la révolution socialiste. Le VIe congrès aiguille le Parti sur l’insurrection armée contre la bourgeoisie et son Gouvernement provisoire. Les partis conciliateurs, socialiste-révolutionnaire et menchévik, les anarchistes et les autres partis non communistes achèvent leur évolution dès avant la Révolution d’Octobre, ils deviennent tous des partis bourgeois ; ils défendent l’intégrité du régime ca­pitaliste. Le Parti bolchévik dirige à lui seul la lutte des masses pour le renversement de la bourgeoisie et l’instauration du pouvoir des Soviets. En même temps, les bolchéviks brisent les tentatives des capitulards à l’intérieur du Parti, — Zinoviev, Kaménev, Rykov, Bou­kharine, Trotski, Piatakov, — pour faire dévier le Parti de la route de la révolution socialiste. Sous la direction du Parti bolchévik, la classe ouvrière, alliée aux paysans pauvres et soutenue par les soldats et les matelots, renverse le pouvoir de la bourgeoisie, instaure le pouvoir des So­viets, institue un nouveau type d’État, l’État soviétique socialiste ; elle abolit la propriété seigneuriale sur la terre, remet la terre en jouissance à la paysannerie, nationalise toutes les terres du pays, exproprie les capitalistes, réussit à sortir de la guerre, à signer la paix, obtient la trêve nécessaire et crée ainsi les conditions requises pour une ample construction socialiste. La Révolution socialiste d’Octobre a battu le capitalisme ; elle a enlevé à la bourgeoisie les moyens de production et fait des fa­briques, des usines, de la terre, des chemins de fer, des banques une propriété du peuple entier, une propriété sociale. Elle a instauré la dictature du prolétariat et remis la direction d’un immense État à la classe ouvrière, dont elle a fait la classe dominante. La Révolution socialiste d’Octobre a inauguré ainsi une ère nouvelle dans l’histoire de l’humanité, l’ère des révolutions prolétariennes. Résumé du chapitre 8. Battus par la Révolution d’Octobre, les grands propriétaires fonciers et les capitalistes, de concert avec les généraux blancs, s’abouchent, au préjudice de leur patrie, avec les gouvernements des pays de l’Entente, pour déclencher en commun une agression militaire contre le pays des Soviets et en renverser le pouvoir. C’est sur cette base que s’organise l’intervention militaire de l’Entente et les rébellions de gardes blancs à la périphérie de la Russie, ce qui fait que la Russie se trouve coupée de ses bases de ravitaille­ment en subsistances et en matières premières. La défaite militaire de l’Allemagne et la cessation de la guerre des deux coalitions impérialistes en Europe aboutissent au renfor­cement de l’Entente, au renforcement de l’intervention, et suscitent de nouvelles difficultés pour le pays des Soviets. La révolution en Allemagne et le mouvement révolutionnaire dans les pays d’Europe — au contraire — créent une situation in­ternationale favorable au pouvoir soviétique et allègent la situation du pays des Soviets. Le Parti bolchévik alerte les ouvriers et les paysans pour la guerre de salut de la patrie contre les envahisseurs étrangers et la contre-révolution de la bourgeoisie et des grands propriétaires fon­ciers. La République soviétique et son Armée rouge battent, l’une après l’autre, les créatures de l’Entente Koltchak, Ioudénitch, Dé­nikine, Krasnov, Wrangel ; elles chassent d’Ukraine et de Biélo­russie Pilsudski, autre créature de l’Entente, et repoussent l’inter­vention militaire étrangère, dont elles rejettent les troupes au delà des frontières du pays des Soviets. C’est ainsi que la première agression militaire du capital inter­national contre le pays du socialisme se termine par un échec complet. Battus par la révolution, les partis socialiste-révolutionnaire, menchévik, anarchiste, nationalistes soutiennent, dans la période de l’intervention, les généraux blancs et les envahisseurs ; ils our­dissent des complots contre la République des Soviets, organisent la terreur contre les militants soviétiques. Ces partis qui, avant la Révolution d’Octobre, avaient eu quelque influence sur la classe ouvrière, pendant la guerre civile se démasquent complètement aux yeux des masses populaires comme partis de contre-révolution. La période de la guerre civile et de l’intervention marque l’ef­fondrement politique de ces partis et le triomphe définitif du Parti communiste dans le pays des Soviets. Résumé du chapitre 9. Les années de transition à l’œuvre pacifique de rétablissement de l’économie nationale constituent une des périodes les plus dé­cisives de l’histoire du Parti bolchévik. Dans une atmosphère tendue, le Parti a su opérer le difficile tournant de la politique du communisme de guerre à la nouvelle politique économique. Le Parti a cimenté l’alliance des ouvriers et des paysans sur une nou­velle base économique. L’Union des Républiques socialistes sovié­tiques a été créée. Par les méthodes de la nouvelle politique économique, des succès décisifs ont été obtenus dans le rétablissement de l’écono­mie nationale. Le pays des Soviets a traversé avec succès la pério­de de rétablissement dans le développement de l’économie natio­nale et il a abordé une nouvelle période, celle de l’industrialisa­tion du pays. Le passage de la guerre civile à l’œuvre pacifique de construc­tion socialiste a comporté, dans les premiers temps surtout, de grandes difficultés. Les ennemis du bolchévisme, les éléments hostiles dans les rangs du Parti communiste bolchévik de l’ ont mené, durant toute cette période, une lutte achar­née contre le Parti de Lénine. À la tête de ces éléments hostiles au Parti se trouait Trotski. Ses sous-ordres, dans cette lutte, furent Kaménev, Zinoviev, Boukharine. L’opposition comptait, après la mort de Lénine, décomposer les rangs du Parti bolchévik, disloquer le Parti, lui inoculer le scepticisme à l’égard de la victoire du socialisme en Au fond, les trotskistes ten­taient de créer en une organisation politique de la nouvel­le bourgeoisie, un autre parti, le parti de la restauration du capi­talisme. Le Parti serra les rangs sous le drapeau de Lénine, autour de son Comité central léniniste, autour du camarade Staline, et il mit en déroute les trotskistes de même que leurs nouveaux amis de Leningrad, la nouvelle opposition Zinoviev-Kaménev. Le Parti bolchévik, après avoir accumulé forces et ressources, conduisit le pays à une nouvelle étape historique, à l’étape de l’industrialisation socialiste. Résumé du chapitre 10. Dans la lutte pour l’industrialisation socialiste du pays, le Parti vainquit, de 1926 à 1929, d’immenses difficultés intérieures et in­ternationales. Les efforts du Parti et de la classe ouvrière firent triompher la politique d’industrialisation socialiste du pays. On résolut dans l’essentiel l’un des problèmes les plus dif­ficiles de l’industrialisation, à savoir le problème de l’accumu­lation des ressources pour édifier l’industrie lourde. On jeta les fondements d’une industrie lourde capable de rééquiper l’ensemble de l’économie nationale. On adopta le premier plan quinquennal de construction socia­liste. On entreprit en grand l’organisation d’usines neuves, de sovkhoz et de kolkhoz. La marche au socialisme s’accompagnait d’une aggravation de la lutte de classes dans le pays et d’une aggravation de la lutte au sein du Parti. Cette lutte eut pour principaux résultats l’écra­sement de la résistance des koulaks ; la dénonciation du bloc capitulard trotskiste-zinoviéviste en tant que bloc antisoviétique ; la dénonciation des capitulards de droite en tant qu’agents des kou­laks ; l’expulsion des trotskistes hors du Parti ; la reconnaissance de l’incompatibilité des vues professées par les trotskistes et les opportunistes de droite, avec l’appartenance au Parti communiste de l’ Battus par le Parti bolchévik sur le terrain de l’idéologie et privés de toute base dans la classe ouvrière, les trotskistes cessè­rent d’être un courant politique pour devenir une clique sans principes d’arrivistes et d’escrocs politiques, une bande de poli­ticiens à double face. Après avoir jeté les bases de l’industrie lourde, le Parti mo­bilise la classe ouvrière et la paysannerie pour exécuter le pre­mier plan quinquennal de réorganisation socialiste de l’ À travers le pays, des millions de travailleurs développent l’émula­tion socialiste ; on voit naître un puissant élan de travail, une nou­velle discipline du travail s’élabore. Cette période s’achève par l’année du grand tournant, qui mar­que les immenses succès du socialisme dans l’industrie, les pre­miers succès importants dans l’agriculture, le tournant opéré par le paysan moyen vers les kolkhoz, le début du mouvement kol­khozien de masse. Résumé du chapitre 11. En 1930-1934, le Parti bolchévik s’est acquitté de la tâche historique la plus difficile de la révolution prolétarienne après la conquête du pouvoir celle qui consiste à faire passer lès mil­lions de petits propriétaires paysans sur la voie des kolkhoz, sur la voie du socialisme. La liquidation des koulaks, classe d’exploiteurs la plus nom­breuse, et le passage des masses essentielles de la paysannerie sur la voie des kolkhoz ont abouti à extirper les dernières raci­nes du capitalisme dans le pays, à achever la victoire du socia­lisme dans l’agriculture, à consolider définitivement le pouvoir des Soviets à la campagne. Après avoir surmonté une série de difficultés d’organisation, les kolkhoz se sont définitivement consolidés et engagés sur le chemin d’une vie aisée. L’exécution du premier plan quinquennal a eu pour résultat la construction, dans notre pays, d’inébranlables fondations de l’économie socialiste industrie lourde socialiste de premier ordre et agriculture collective mécanisée ; le chômage a été supprimé ; supprimée l’exploitation de l’homme par l’homme ; les conditions requises ont été créées pour une amélioration continue de la si­tuation matérielle et culturelle des travailleurs de notre pays. Ces succès grandioses ont été remportés par la classe ouvriè­re, les kolkhoziens et tous les travailleurs de notre pays, grâce à la politique courageuse, révolutionnaire et lucide du Parti et du gouvernement. Les États capitalistes qui nous encerclent, cherchent à affai­blir et à miner la puissance de l’ ; c’est pourquoi ils accen­tuent leur travail » en vue d’organiser à l’intérieur du pays des bandes d’assassins, de saboteurs, d’espions. L’hostilité de ces États capitalistes à l’égard de l’ s’intensifie particulièrement avec l’arrivée des fascistes au pouvoir en Allemagne et au Japon. En la personne des trotskistes, des zinoviévistes, le fascisme a acquis des serviteurs fidèles ; ils se chargent d’espionner, de pratiquer le sabotage, d’exercer la terreur et de commettre des actes de diver­sion ; ils veulent la défaite de l’ pour pouvoir restaurer le capitalisme. Le pouvoir des Soviets châtie d’une main ferme ces rebuts du genre humain ; il les frappe d’une répression impitoyable, comme ennemis du peuple et traîtres à la patrie. Résumé du chapitre 12. Pas de résumé, mais il est suivi d'une conclusion qui évalue l'ensemble et la situation alors. regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Le Chapitre 409 s'intitule "Et l'annonce retentit". Couverture[] La nouvelle mission de Miss Goldenweek Refonder Baroque Works "Une baraque en ruine dans le désert" Le groupe des évadés tombe sur une baraque abandonnée en plein désert. Que pourraient-ils bien en faire? Résumés[] Résumé Rapide[] Dans la tour de la justice, Sniperking et Zoro continuent de se battre contre Kaku et Jabura. Sanji est toujours sous sa forme glissante, Nami se bat contre Kalifa et Chopper est toujours sous sa forme "Monster Point". Spandam continue d'escorter Robin jusqu'à la porte de la justice. Celui-ci se trompe d'escargophone et déclenche par accident le Buster Call. Tout le monde sur l'île entend la conversation entre Kalifa et Spandam. Robin lui dit qu'il faut absolument annuler le Buster Call car sinon tout le monde sur l'île y passera. Pendant ce temps, Luffy commence son combat contre Lucci. Résumé Approfondi[] Le chapitre commence par montrer comment chaque pirate du chapeau de paille et Franky progressent dans leurs combats. Zoro et Sogeking sont au quatrième étage, combattant Jabra et Kaku , qui détiennent respectivement les clés n°1 et n°5. Sanji est en tas au premier étage, toujours lisse grâce à la capacité de Kalifa . Chopper est accroché au mur de la tour dans son Monster Point . Au cinquième étage, Nami et Kalifa se battent. Nami a la clé n°3 et essaie de prendre la clé n°2 de Kalifa. À l'extérieur de la tour, Franky est allongé sur le dos, épuisé, tandis que Fukurouet Kumadori sont à la fois vaincus et inconscients. Et à l'intérieur du Pont de l'Hésitation , Luffy se prépare à combattre Rob Lucci . Spandam monte les escaliers en courant, entraînant Robin avec lui. Il est furieux qu'un pirate les ait suivis jusqu'ici. Il sort un Den Den Mushi et tente de recruter le reste des agents du CP9 . Lorsqu'il ne comprend pas pourquoi ils ne répondent pas, Robin lui demande ce qu'il tient. Spandam regarde sa main et se rend compte qu'il parle et maintient enfoncé le bouton du Golden Den Den Mushi , activant le Buster Call . Un Silver Den Den Mushi du quartier général de la Marine se met à vibrer. Quelqu'un le rapporte, et qu'Aokiji avait demandé le Buster Call et confirmé qu'il provenait d' Enies Lobby . Le vice-amiral John Giant donne des ordres. Il a ordonné à cinq vice-amiraux dans la zone de l'appel de répondre. Il ordonna aux dix navires de guerre d'être prêts et aux vice-amiraux de se rassembler. Un soldat lui dit qu'ils peuvent se rendre à Enies Lobby en trente minutes. Spandam parle à un Baby Den Den Mushi, le bon, maintenant. Kalifa répond. Il lui dit qu'il a foiré et mis accidentellement le Buster Call en action. Le Den Den Mushi auquel il parle est également relié à un système d'interphone dans Enies Lobby, de sorte que tout le monde sur l'île l'a entendu. Les soldats sont choqués et ne peuvent pas croire ce qu'ils entendent. Lucci et Luffy écoutent la conversation sur un Baby Den Den Mushi depuis la pièce dans laquelle ils se trouvent et entendent la voix de Robin demander à Spandam ce qu'il a fait et lui dire de l'annuler immédiatement car cela a des conséquences désastreuses. Nami et Kalifa l'écoutent, tout comme les contremaîtres capturés de Galley-La Company et Franky Family . Oimo et Kashii, également ligoté, sont essoufflés et souriants à l'annonce, alors qu'un soldat à proximité reconnaît la voix de Spandam. Spandam rit maintenant, comme s'il n'avait pas peur du Buster Call. Il essaie alors de se faire croire que ce n'était pas un accident. Il se raconte qu'en tant que chef du CP9, il a ordonné le Buster Call afin de livrer Robin au Gouvernement Mondial sans faute. Il se demande alors si c'est une bonne cause, puisqu'au moins tous les pirates seraient morts. Robin lui dit qu'il est insensé de penser ainsi. Le Buster Call est vide de toute émotion. Il brûlera tout et n'importe quoi sur Enies Lobby, y compris l'île elle-même. Il sacrifiera tout le monde pour mener à bien son objectif, une attaque de feu focalisée. Robin dit à Spandam qu'il ne sait pas ce qui s'est passé il y a vingt ans sur Ohara . Spandam ignore ses propos, affirmant qu'il s'agit d'une affaire importante pour le gouvernement mondial. Depuis que Cutty Flam a brûlé les plans de Pluton, Robin est le seul moyen de faire revivre les armes anciennes. Il poursuit en disant que la force militaire qui renversera une époque dépendra de Pluton et que quiconque mourra en conséquence sera considéré comme un sacrifice pour l'avenir. Ce qu'il ne réalise pas, c'est que tout ce qu'il dit est transmis à travers l'île sur le Den Den Mushi qu'il tient. Tous les soldats qui écoutent sont stupéfaits qu'ils seraient sacrifiés. Robin demande à Spandam ce que sont les vies humaines pour lui. Spandam lui dit que si des gens doivent mourir pour que plus de gens soient sauvés, ils seront tués sans hésitation. Pour que la vraie justice soit promulguée, il doit y avoir des sacrifices. Il lui dit que les soldats feraient mieux de mourir de toute façon, car ils ne pouvaient pas empêcher les pirates d'envahir. Robin dit à Spandam que le Den Den Mushi qu'il tient est toujours décroché. Spandam se rend compte avec horreur que tout le monde a entendu la conversation et essaie de prétendre qu'il est Luffy, mais personne ne le croit. Robin essaie de dire à tout le monde de s'échapper, car ils ne survivront pas au Buster Call. Spandam la frappe à l'écart et raccroche, lui disant de ne rien dire d'inutile. Le CP9 et l'Équipage du Chapeau de Paille arrêtent momentanément leur bataille pour discuter du Buster Call. Jabra est en colère contre Spandam et Zoro se rend compte qu'ils sont en danger. Kalifa dit à Nami que les pirates n'ont plus aucun espoir. Nami lui dit de ne pas s'inquiéter, car ils sont habitués à des situations désastreuses comme celle-ci. Kokoro rit, disant que les choses deviennent plus intéressantes. Les soldats se bousculent pour quitter l'île, laissant leurs prisonniers sans surveillance. Zambai demande pourquoi ils s'enfuient alors que des navires de guerre arrivent. Paulieexplique que toute l'île sera incendiée. Ils crient alors aux soldats de la Marine en fuite de les détacher s'ils vont s'enfuir. Spandam descend les escaliers vers Robin, qui était tombé un peu de lui en la frappant. Il lui a demandé comment elle assumerait la responsabilité si les pirates s'échappaient. Luffy parle à Lucci, lui demandant d'où vient la voix de Robin. Lucci pointe la porte de l'autre côté de la pièce et lui dit que sa voix vient de derrière. Luffy attaque Lucci avec un coup de pied, et Lucci se défend facilement. Il dit à Luffy qu'il ne peut pas le laisser passer. Luffy lui donne un coup de poing dans le ventre mais Lucci n'est pas affecté. Luffy va alors pour un coup de pied haut, mais Lucci l'intercepte avec son propre coup de pied. Il frappe alors Luffy carrément au visage. Luffy esquive alors un coup de pied rapide alors que les deux ramènent leurs bras, se préparant à donner un coup de poing. Le chapitre se termine par la rencontre de leurs poings. La force d'impact est assez forte pour faire sauter tout ce qui se trouve dans la pièce. Informations[] Notes[] Personnages[] Pirates Marines Gouvernement Mondial Chasseurs de Primes Baroque Works dissout Citoyens L'Équipage du Chapeau de Paille Monkey D. Luffy Roronoa Zoro Nami Sogeking Sanji Tony Tony Chopper L'Équipage des Géants Oimo Karsee Vice-Amiral John Giant CP9 Spandam Rob Lucci Hattori Kaku Kalifa Kumadori Jabura Fukuro Franky Family Franky Mozu et Kiwi Zambai Tamagon Agents Officiers Miss GoldenWeek ombrée, couverture Mr. 5 ombrée, couverture Miss Valentine ombrée, couverture Miss DoubleFinger ombrée, couverture Mr. 4 ombrée, couverture Miss Merry Christmas ombrée, couverture Autre Lassou ombrée, couverture Water Seven Paulie Peeply Lulu Tileston Gare de Shift Kokoro Ohara détruit Nico Robin Navigation du Site[] Arc Enies Lobby Chapitres 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 Tomes 39 40 41 42 43 44 Épisodes 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 La nouvelle mission de Miss Goldenweek Refonder Baroque Works Chapitres 359 360 361 362 363 365 366 367 368 370 371 372 374 375 376 378 380 381 382 384 385 386 388 389 390 392 393 395 396 397 398 399 400 402 403 404 406 407 408 409 411 412 413

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