🐋 Bruit D Un Avion Qui DĂ©colle

Lebruit d'un avion qui s'Ă©crase rapidement. avion vol ciel. 00:07. Le bruit d'un avion dĂ©collant Ă  distance. avion vol ciel. 00:05. Sifflement d'atterrissage de l'avion. cinĂ©ma et tĂ©lĂ©vision Contexte atmosphĂšre. 00:12. Le bruit d'un avion volant dans les airs. avion vol ciel / 4 Next Page. How do you like the search results? Thank you for your Feedback!, , , vous ĂȘtes Bruitd’avion qui dĂ©colle dans votre lave linge : ProblĂšme de roulement . PuĂČ succedere che les roulements de votre tambour soit trop usĂ©. Si c’est le cas vous entendez un bruit strident pendant le lavage et comme un bruit d’avion au dĂ©collage pendant l’essorage. Pour vĂ©rifier si le problĂšme vient bien du roulement : DĂ©montez l’arriĂšre de votre lave linge; Retirez la Lavion Ă©lectrique dĂ©colle pour un ciel plus vert. C'est un avion biplace, lĂ©ger, maniable et surtout Ă©lectrique que l'on pourrait voir, Ă  dĂ©faut de l'entendre, de plus en plus dans le ciel Lebruit des avions est un simulateur de vol d’un Boeing 737, qui place le joueur aux commandes d’un avion qui jamais ne dĂ©colle ni n’atterrit. Tout semble possible pour cet engin traversant l’espace infini, seulement ponctuĂ© de quelques signes textuels, sonores, mĂ©caniques, avertissant de l’inĂ©vitable risque. Comments’orchestre la symphonie aĂ©rienne d'un avion qui dĂ©colle ? Bru(i)t, c'est le podcast de Brut oĂč on explique les sons qui nous entourent et ceux qui nous dĂ©passent. Je m'appelle Romain, je suis compositeur Ă©lectro, vous me connaissez peut-ĂȘtre aussi sous le nom de MolĂ©cule. Dans la vie, j'adore chasser les sons avec mes micros, les dĂ©couvrir, les Ă©couter. ily a 17 ans. Post by Claudine. A l'atterrissage, ce sont les reverse (inverseurs de poussĂ©e) qui font du. bruit. Ou la ferraille (flaps, train, etc.) qu'ils sont obligĂ©s de sortir Ă  un. moment ou un autre, avec des moteurs en rĂ©ajustement constant. Tout ça, ça fait d'autant plus de bruit que l'avion est plus proche du sol lors. Choisissezun format : Original (1920 x 1080) HD (1280 x 720) SD (960 x 540) SD (640 x 360) Format personnalisĂ© . TĂ©lĂ©charger gratuitement. VidĂ©aste. Manuel Lapingcao 23 abonnĂ©s · Lapulapu City, Cebu , Philippines. Suivre Faire un don. 177 millier vues. Libre d'utilisation. Partager Info Unavion volant entre 22 heures et minuit, le lundi 1er mars, Ă  basse altitude au-dessus de l'EuromĂ©tropole de Strasbourg (Bas-Rhin), a inquiĂ©tĂ© une partie de Impressionnantcette mauvaise foi de personnes achetant autour d'un terrain d'aviation et poussant des cris d'orfraie dĂšs qu'un avion dĂ©colle JS 0views, 0 likes, 0 loves, 0 comments, 0 shares, Facebook Watch Videos from Brut: Pour prĂ©server la planĂšte, il faudrait l’entendre moins souvent. Dans cet Ă©pisode du 0views, 0 likes, 0 loves, 0 comments, 0 shares, Facebook Watch Videos from Brut: Pour prĂ©server la planĂšte, il faudrait l’entendre moins souvent. Dans cet Ă©pisode du podcast Bru(i)t, MolĂ©cule 0views, 0 likes, 0 loves, 0 comments, 0 shares, Facebook Watch Videos from Brut: Pour prĂ©server la planĂšte, il faudrait l’entendre moins souvent. Dans cet Lapression acoustique Ă  25 m d’un avion Ă  rĂ©action qui dĂ©colle est d’env. 150 dBA (dĂ©cibel -A), suffisant pour faire Ă©clater les tambours. En plus du bruit du moteur, les ondes de choc se manifesteront sous la forme d’indices violents si un avion maintient un taux de dĂ©bordement, ce qui n’est pas applicable aux avions civils d’aujourd’hui. Mais un avion produit un bruit ClaudeVerstichel habite Ă  Ligny depuis 32 ans. En 2018, un avion quadrirĂ©acteur dĂ©colle vers sa maison : "Au moment oĂč l’avion est passĂ© au DĂ©couvredes vidĂ©os courtes en rapport avec avion qui fait un bruit bizarre sur TikTok. Regarde du contenu populaire des crĂ©ateurs suivants : versusJeremyYTB tiktok(@veresusjeremyytb), elisalaresta(@elisa_drg29), Akancage🧿(@akancage), Bartiste(@bartiste.m), Houda Rkn(@houdarkn), Spyrou_atv(@spyrou_atv), Gabriel Mura167(@gabbbmk10), hYRLm15. Le bruit des avions est la pollution sonore produite par les aĂ©ronefs pendant les diffĂ©rentes phases d’un vol. Le terme est principalement utilisĂ© pour le bruit externe provenant des avions. Un moteur Ă  rĂ©action est l’un des objets artificiels les plus bruyants et le bruit de l’avion peut ĂȘtre si violent que mĂȘme quelques secondes de sĂ©jour Ă  proximitĂ© d’un avion, en particulier au dĂ©part, peuvent entraĂźner une perte auditive. La pression acoustique Ă  25 m d’un avion Ă  rĂ©action qui dĂ©colle est d’env. 150 dBA dĂ©cibel -A, suffisant pour faire Ă©clater les tambours. En plus du bruit du moteur, les ondes de choc se manifesteront sous la forme d’indices violents si un avion maintient un taux de dĂ©bordement, ce qui n’est pas applicable aux avions civils d’aujourd’hui. Mais un avion produit un bruit aĂ©rodynamique important bien avant qu’il atteigne sa vitesse de croisiĂšre. Le bruit et les vibrations internes des avions et des hĂ©licoptĂšres sont souvent gĂȘnants et, dans certains cas, si forts qu’ils peuvent entraĂźner une perte auditive. La production sonore est divisĂ©e en trois catĂ©gories Rotation mĂ©canique du bruit des piĂšces du moteur, surtout lorsque les pales du ventilateur atteignent des vitesses supersoniques. Bruit aĂ©rodynamique provenant du flux d’air autour des surfaces de l’avion, en particulier lors d’un vol Ă  basse vitesse. Bruit des systĂšmes de pressurisation et de conditionnement des systĂšmes d’aĂ©ronef, du poste de pilotage et de la cabine, et des groupes auxiliaires de puissance. Les consĂ©quences sur la santĂ© comprennent les troubles du sommeil, la dĂ©ficience auditive et les maladies cardiaques, ainsi que les accidents du travail causĂ©s par le stress. La mĂ©moire et le rappel peuvent Ă©galement ĂȘtre affectĂ©s. Les gouvernements ont mis en place des contrĂŽles Ă©tendus qui s’appliquent aux concepteurs, aux constructeurs et aux exploitants d’aĂ©ronefs, ce qui permet d’amĂ©liorer les procĂ©dures et de rĂ©duire la pollution. MĂ©canismes de production sonore Le bruit des aĂ©ronefs est la pollution sonore produite par un aĂ©ronef ou ses composants, que ce soit au sol alors qu’il est stationnĂ©, comme les groupes auxiliaires de puissance, au moment du dĂ©collage, sous l’hĂ©lice et , survoler en route ou Ă  l’atterrissage. Un aĂ©ronef en mouvement, y compris le turborĂ©acteur ou l’hĂ©lice, provoque la compression et la rarĂ©faction de l’air, ce qui produit un mouvement des molĂ©cules d’air. Ce mouvement se propage dans l’air sous forme d’ondes de pression. Si ces ondes de pression sont suffisamment fortes et dans le spectre de frĂ©quences audibles, une sensation d’ouĂŻe se produit. DiffĂ©rents types d’aĂ©ronefs ont des niveaux de bruit et des frĂ©quences diffĂ©rents. Le bruit provient de trois sources principales Moteur et autres bruits mĂ©caniques Bruit aĂ©rodynamique Bruit des systĂšmes d’avion Moteur et autres bruits mĂ©caniques Une grande partie du bruit dans les aĂ©ronefs Ă  hĂ©lice provient Ă©galement des hĂ©lices et de l’aĂ©rodynamique. Le bruit de l’hĂ©licoptĂšre est un bruit aĂ©rodynamique induit par les rotors principaux et de queue et par le bruit induit mĂ©caniquement par la boĂźte de vitesses principale et diverses chaĂźnes de transmission. Les sources mĂ©caniques produisent des pics de forte intensitĂ© Ă  bande Ă©troite liĂ©s Ă  la vitesse de rotation et au mouvement des piĂšces en mouvement. Dans la modĂ©lisation informatique, le bruit d’un avion en mouvement peut ĂȘtre traitĂ© comme une source de ligne. Bruit d’avion des rĂ©acteurs Les moteurs Ă  turbine Ă  gaz des aĂ©ronefs sont responsables d’une grande partie du bruit de l’avion pendant le dĂ©collage et la montĂ©e, tels que le bruit gĂ©nĂ©rĂ© par la scie circulaire lorsque les pales du ventilateur atteignent des vitesses supersoniques. Cependant, avec les progrĂšs des technologies de rĂ©duction du bruit, la cellule est gĂ©nĂ©ralement plus bruyante lors de l’atterrissage. La majoritĂ© du bruit du moteur est dĂ» au bruit des jets, bien que les turborĂ©acteurs Ă  taux de dilution Ă©levĂ© aient un bruit de ventilateur considĂ©rable. Le jet Ă  grande vitesse sortant de l’arriĂšre du moteur prĂ©sente une instabilitĂ© inhĂ©rente Ă  la couche de cisaillement si elle n’est pas suffisamment Ă©paisse et s’enroule dans les tourbillons annulaires. Cela se dĂ©compose plus tard en turbulence. Le SPL associĂ© au bruit du moteur est proportionnel Ă  la vitesse du jet Ă  une puissance Ă©levĂ©e. Par consĂ©quent, mĂȘme des rĂ©ductions modestes de la vitesse d’échappement produiront une rĂ©duction importante du bruit de jet. La gĂ©nĂ©ration de son pendant le fonctionnement d’un turborĂ©acteur est principalement due Ă  l’écoulement autour des pales, Ă  la combustion dans la chambre de combustion et au frottement des piĂšces mĂ©caniques; En outre, l’émission sonore provient des Ă©coulements turbulents gĂ©nĂ©rĂ©s derriĂšre les moteurs. Le ventilateur, le compresseur et la turbine sont des roues Ă  palettes, en particulier le compresseur et la turbine sont gĂ©nĂ©ralement conçus en plusieurs Ă©tapes et prĂ©sentent donc une variĂ©tĂ© de roues Ă  palettes. La thĂ©orie de base de la gĂ©nĂ©ration du son en champ d’écoulement a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e en 1952 par le mathĂ©maticien britannique Michael James Lighthill, qui a transformĂ© les Ă©quations de Navier-Stokes en une Ă©quation aux vagues. La solution de cette Ă©quation, qui peut ĂȘtre Ă©crite sous la forme d’un potentiel retardĂ©, dĂ©crit le son rayonnĂ© d’une roue Ă  aubes en forme thĂ©orique. L’aĂ©roacoustique traite de la formation complexe de bruits causĂ©s par les courants d’air dans le moteur. Explosion sonore Si un avion vole de maniĂšre supersonique, une onde de choc sera créée sur le fuselage et l’arriĂšre de l’aĂ©ronef. Ces ondes de choc se sont propagĂ©es sous la forme du cĂŽne de Mach et sont arrivĂ©es peu aprĂšs avoir survolĂ© un observateur. Pour les petits aĂ©ronefs et les altitudes plus Ă©levĂ©es, ces ondes de choc sont perçues par une personne comme un coup, dans les gros avions ou Ă  basse altitude, comme deux chocs immĂ©diatement consĂ©cutifs. Contrairement Ă  la croyance populaire, le boom sonore ne se produit pas seulement au moment oĂč le mur du son est brisĂ©, mais il se produit en permanence et est exposĂ© Ă  tous les endroits survolĂ©s Ă  des vitesses supersoniques. L’explosion supersonique d’un avion volant Ă  une altitude de cent mĂštres peut produire un niveau de pression sonore pouvant atteindre 130 dB A, ce qui Ă©quivaut Ă  peu prĂšs Ă  celui des coups de feu tirĂ©s de prĂšs. Bruit d’avion dĂ» Ă  la circulation d’air Ă  l’extĂ©rieur des moteurs Lors du dĂ©marrage d’un avion, les moteurs fonctionnent Ă  pleine charge et Ă©mettent des niveaux de pression acoustique Ă©levĂ©s. l’émission sonore d’autres composants est marginale par rapport Ă  celle-ci. A l’approche d’un avion et dans les nouvelles stratĂ©gies de vol dans certaines phases du lancement, voir ci-dessous, les moteurs fonctionnent Ă  charge partielle. Dans ce cas, l’émission sonore par d’autres facteurs reprĂ©sente une part assez importante des Ă©missions totales. Les principaux facteurs sont les bruits d’écoulement de la propulsion Ă  haute levĂ©e en particulier les lattes et les volets et le chĂąssis. À une ouverture sous le profil aĂ©rodynamique, le port d’égalisation de la pression du rĂ©servoir de la famille Airbus A320 produit un son Ă©levĂ© lorsque l’air dĂ©borde ce qui est similaire au soufflage d’une bouteille en verre. Une plaque de mĂ©tal peut dĂ©tourner l’air et attĂ©nuer le phĂ©nomĂšne de 4 dB. Emission sonore due au bruit du moteur Les avions de petite taille, tels que les avions lĂ©gers, ne sont pas Ă©quipĂ©s de moteurs, mais propulsent gĂ©nĂ©ralement leurs hĂ©lices avec un moteur Ă  pistons. En raison des vitesses maximales et des dimensions gĂ©omĂ©triques nettement infĂ©rieures de ces avions, les Ă©missions sonores des courants d’air sont gĂ©nĂ©ralement nĂ©gligeables. Lorsque le moteur est Ă©teint et dans les airs comme dans les planeurs, ce type d’aĂ©ronef ne produit pratiquement aucun son perceptible au sol – contrairement aux avions de ligne et militaires qui Ă©mettent des bruits forts mĂȘme lorsque les moteurs sont Ă©teints thĂ©oriquement. Les niveaux de pression acoustique, parfois considĂ©rables, gĂ©nĂ©rĂ©s par les petits aĂ©ronefs, sont donc dus uniquement au bruit du moteur et aux dĂ©bits d’air provoquĂ©s par l’hĂ©lice. Bruit aĂ©rodynamique Le bruit aĂ©rodynamique provient du flux d’air autour du fuselage de l’avion et des surfaces de contrĂŽle. Ce type de bruit augmente avec la vitesse de l’avion et aussi Ă  basse altitude en raison de la densitĂ© de l’air. Les avions Ă  rĂ©action crĂ©ent un bruit intense dĂ» Ă  l’aĂ©rodynamisme. Les avions militaires Ă  basse vitesse et Ă  grande vitesse produisent un bruit aĂ©rodynamique particuliĂšrement fort. La forme du nez, du pare-brise ou de la canopĂ©e d’un avion affecte le son produit. Une grande partie du bruit d’un avion Ă  hĂ©lice est d’origine aĂ©rodynamique en raison du flux d’air autour des pales. Les rotors principaux et de queue de l’hĂ©licoptĂšre gĂ©nĂšrent Ă©galement un bruit aĂ©rodynamique. Ce type de bruit aĂ©rodynamique est principalement Ă  basse frĂ©quence dĂ©terminĂ© par la vitesse du rotor. GĂ©nĂ©ralement, le bruit est gĂ©nĂ©rĂ© lorsque le flux passe par un objet sur l’aĂ©ronef, par exemple les ailes ou le train d’atterrissage. Il existe deux types principaux de bruit de cellule Bluff Body Noise – le tourbillon alternatif se dĂ©plaçant de chaque cĂŽtĂ© d’un corps de bluff crĂ©e des zones de basse pression au cƓur des tourbillons de hangar qui se manifestent par des ondes de pression ou des sons. L’écoulement sĂ©parĂ© autour du corps de la falaise est trĂšs instable et le flux s’enroule » en tourbillons annulaires, qui se dĂ©composent ensuite en turbulence. Bruit de bord – lorsque l’écoulement turbulent traverse l’extrĂ©mitĂ© d’un objet ou des lacunes dans une structure Ă©carts de dĂ©gagement importants du dispositif de levage, les fluctuations de pression associĂ©es sont audibles lorsque le son se propage Ă  partir du bord de l’objet radialement vers le bas. Bruit des systĂšmes d’avion Les systĂšmes de pressurisation et de conditionnement du poste de pilotage et de la cabine contribuent souvent beaucoup aux cabines des avions civils et militaires. Cependant, l’une des sources les plus importantes de bruit de cabine des avions Ă  rĂ©action commerciaux, autres que les moteurs, est le groupe auxiliaire de puissance APU, un gĂ©nĂ©rateur embarquĂ© utilisĂ© dans les avions pour dĂ©marrer les moteurs principaux, gĂ©nĂ©ralement Ă  air comprimĂ©. fournir de l’électricitĂ© pendant que l’avion est au sol. D’autres systĂšmes aĂ©ronautiques internes peuvent Ă©galement contribuer, tels que des Ă©quipements Ă©lectroniques spĂ©cialisĂ©s dans certains avions militaires. Effets sur la santĂ© Les moteurs d’avion sont la principale source de bruit et peuvent dĂ©passer 140 dĂ©cibels dB au dĂ©collage. En vol, les principales sources de bruit sont les moteurs et la turbulence Ă  grande vitesse sur le fuselage. Les niveaux sonores Ă©levĂ©s ont des consĂ©quences sur la santĂ©. Un lieu de travail Ă©levĂ© ou un autre bruit peut entraĂźner une dĂ©ficience auditive, une hypertension, une cardiopathie ischĂ©mique, une gĂȘne, des troubles du sommeil et une diminution des performances scolaires. Bien que certaines pertes auditives surviennent naturellement avec l’ñge, dans de nombreux pays dĂ©veloppĂ©s, l’impact du bruit est suffisant pour nuire Ă  l’audition au cours de la vie. Des niveaux de bruit Ă©levĂ©s peuvent crĂ©er du stress, augmenter les taux d’accidents sur le lieu de travail et stimuler l’agressivitĂ© et d’autres comportements antisociaux. Le bruit de l’aĂ©roport a Ă©tĂ© liĂ© Ă  l’hypertension artĂ©rielle. Maladies cardiovasculaires Le bruit des avions a des effets sur le systĂšme cardiovasculaire et se manifeste par des maladies du systĂšme. La relation entre le bruit des avions et les maladies cardiovasculaires a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e dans plusieurs Ă©tudes de cas. Selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santĂ© sur la santĂ©, 1,8% des crises cardiaques en Europe sont causĂ©es par un bruit de trafic supĂ©rieur Ă  60 dB. La part du bruit des avions dans ce bruit de circulation reste ouverte. Dans une autre Ă©tude, la relation entre le bruit des avions et l’hypertension artĂ©rielle chez 2 693 sujets de la grande rĂ©gion de Stockholm a Ă©tĂ© examinĂ©e et a conclu qu’à partir d’un niveau sonore continu de 55 dB A et d’un niveau maximal de 72 dB A Un risque de maladie significativement plus Ă©levĂ© est prĂ©sent. Dans le cadre de cette Ă©tude, les auteurs ont Ă©galement pu dĂ©montrer que la pression artĂ©rielle augmente mĂȘme pendant le sommeil avec des niveaux de bruit accrus sans que les personnes habituĂ©es au bruit des avions se rĂ©veillent. Les troubles mentaux Les troubles mentaux survenant peuvent avoir diffĂ©rentes causes, dont certaines ne sont pas explorĂ©es. Des facteurs significatifs de survenue de tels troubles, Ă  savoir l’acouphĂšne subjectif bruit auditif persistant, l’hyperacousie hypersensibilitĂ© pathologique au son et, plus rarement, la phonophobie trouble phobique impliquant des sons ou des sons spĂ©cifiques sont des rĂ©actions au stress. Ce stress peut certainement ĂȘtre provoquĂ© par le bruit des avions de longue durĂ©e. Rien qu’en Allemagne, environ une personne sur dix dĂ©clare des symptĂŽmes d’acouphĂšnes et 500 000 personnes souffrent d’hyperacousie. Étude environnementale allemande Une analyse statistique Ă  grande Ă©chelle des effets sur la santĂ© du bruit des avions a Ă©tĂ© entreprise Ă  la fin des annĂ©es 2000 par Bernhard Greiser pour le bureau central allemand de l’environnement, Umweltbundesamt. Les donnĂ©es sur la santĂ© de plus d’un million d’habitants de l’aĂ©roport de Cologne ont Ă©tĂ© analysĂ©es afin de dĂ©terminer les effets sur la santĂ© liĂ©s au bruit des avions. Les rĂ©sultats ont ensuite Ă©tĂ© corrigĂ©s pour tenir compte d’autres influences du bruit dans les zones rĂ©sidentielles et pour les facteurs socioĂ©conomiques afin de rĂ©duire l’inclinaison possible des donnĂ©es. L’étude allemande a conclu que le bruit des avions nuisait nettement Ă  la santĂ©. Par exemple, un niveau de pression acoustique diurne moyen de 60 dĂ©cibels augmentant les maladies coronariennes de 61% chez les hommes et de 80% chez les femmes. Autre indicateur, une pression acoustique nocturne moyenne de 55 dĂ©cibels a augmentĂ© le risque de crise cardiaque de 66% chez les hommes et de 139% chez les femmes. Des effets sur la santĂ© statistiquement significatifs ont cependant commencĂ© dĂšs le niveau de pression acoustique moyen de 40 dĂ©cibels. Conseil FAA La Federal Aviation Administration FAA rĂ©glemente le niveau de bruit maximal que chaque avion civil peut Ă©mettre en exigeant que les aĂ©ronefs respectent certaines normes de certification acoustique. Ces normes dĂ©signent les modifications des exigences relatives au niveau de bruit maximal par dĂ©signation d’étape». Les normes de bruit amĂ©ricaines sont dĂ©finies dans le Code of Federal Regulations CFR, Titre 14, Partie 36 – Normes sonores certification de type et de navigabilitĂ© des aĂ©ronefs 14 CFR Part 36. La FAA affirme qu’un niveau sonore moyen maximal de 65 dB par jour et nuit est incompatible avec les communautĂ©s rĂ©sidentielles. Les communautĂ©s dans les zones touchĂ©es peuvent ĂȘtre Ă©ligibles Ă  des mesures d’attĂ©nuation telles que l’insonorisation. Bruit de cabine Le bruit des avions affecte Ă©galement les personnes Ă  l’intĂ©rieur de l’aĂ©ronef l’équipage et les passagers. Le bruit de cabine peut ĂȘtre Ă©tudiĂ© pour prendre en compte l’exposition professionnelle et la santĂ© et la sĂ©curitĂ© des pilotes et des agents de bord. En 1998, 64 pilotes de lignes aĂ©riennes commerciales ont Ă©tĂ© interrogĂ©s sur la perte d’audition et les acouphĂšnes. En 1999, le NIOSH a menĂ© plusieurs enquĂȘtes sur le bruit et plusieurs Ă©valuations des risques pour la santĂ©, et a constatĂ© que les niveaux de bruit dĂ©passaient la limite d’exposition recommandĂ©e de 85 dĂ©cibels pondĂ©rĂ©s A comme moyenne pondĂ©rĂ©e sur 8 heures. En 2006, les niveaux de bruit Ă  l’intĂ©rieur d’un Airbus A321 pendant la croisiĂšre ont Ă©tĂ© rapportĂ©s Ă  environ 78 dB A et pendant le roulage lorsque les moteurs de l’avion produisent une poussĂ©e minimale, les niveaux sonores de la cabine ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s Ă  65 dB A. En 2008, une Ă©tude menĂ©e par des Ă©quipages de compagnies aĂ©riennes suĂ©doises a rĂ©vĂ©lĂ© des niveaux sonores moyens compris entre 78 et 84 dB A avec une exposition maximale pondĂ©rĂ©e A de 114 dB, mais aucun changement de seuil auditif majeur. En 2018, une Ă©tude des niveaux sonores mesurĂ©s sur 200 vols reprĂ©sentant six groupes d’aĂ©ronefs a rĂ©vĂ©lĂ© un niveau de bruit de 83,5 dB A avec des niveaux atteignant 110 dB A sur certains vols, mais seulement 4,5%. de 85 dB A. Effets cognitifs Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le bruit simulĂ© des avions Ă  65 dB A affecte nĂ©gativement la mĂ©moire des individus et le rappel des informations auditives. Dans une Ă©tude comparant l’effet du bruit des avions sur l’effet de l’alcool sur les performances cognitives, on a constatĂ© que le bruit simulĂ© des avions Ă  65 dB A avait le mĂȘme effet sur la capacitĂ© des individus Ă  se rappeler Niveau de concentration BAC de 0,10. Un taux d’alcoolĂ©mie de 0,10 est le double de la limite lĂ©gale requise pour conduire un vĂ©hicule Ă  moteur dans de nombreux pays dĂ©veloppĂ©s tels que l’Australie. Voyage aĂ©rien et faune Le bruit des avions peut aussi ĂȘtre gĂȘnant et dangereux pour la faune. Par exemple, les Ă©leveurs de fourrures ont constatĂ© que les animaux avaient mangĂ© des chiots nouveau-nĂ©s dont les avions ou les hĂ©licoptĂšres avaient passĂ© lors de leur passage. Le problĂšme a Ă©galement Ă©tĂ© pertinent en rapport avec des exercices militaires avec des vols Ă  basse altitude au-dessus des parcs nationaux ou des rĂ©serves naturelles pendant la saison de reproduction et de reproduction au printemps. Mesures visant Ă  rĂ©duire le bruit des avions Diverses mesures ont Ă©tĂ© prises pour rĂ©duire le bruit des avions. Les procĂ©dures sont gĂ©nĂ©ralement subdivisĂ©es en mesures de rĂ©duction des Ă©missions et de rĂ©duction des immissions souvent Ă©galement dans la lutte contre le bruit active et passive. Alors que les mesures de rĂ©duction des Ă©missions visent Ă  rĂ©duire le bruit directement Ă  la source, c’est-Ă -dire les avions ou les hĂ©licoptĂšres, l’objectif des mĂ©thodes de rĂ©duction des immissions est de minimiser l’impact sur la population, les animaux et l’environnement. Ce dernier peut ĂȘtre atteint par diverses mesures telles que l’isolation phonique ou l’augmentation de la distance jusqu’à l’aĂ©ronef. Mesures de rĂ©duction des Ă©missions GrĂące Ă  diverses mesures de conception, les Ă©missions sonores des moteurs, des hĂ©lices et des rotors ont Ă©tĂ© considĂ©rablement rĂ©duites au cours des derniĂšres dĂ©cennies. Dans les turborĂ©acteurs, cela s’ajoute Ă  d’autres changements, principalement en se dĂ©tournant d’Einstrom et donc de l’utilisation accrue des turborĂ©acteurs Ă  double flux; Avec les avions Ă  hĂ©lices et les hĂ©licoptĂšres, il est possible de rĂ©duire les niveaux de pression acoustique en modifiant la gĂ©omĂ©trie des pales, ce qui permet de rĂ©duire la vitesse des rotors. En imposant des redevances et en interdisant les avions particuliĂšrement bruyants, tels qu’ils sont mis en Ɠuvre aux États-Unis et dans l’Union europĂ©enne, les compagnies aĂ©riennes et, indirectement, les constructeurs d’aĂ©ronefs DĂ©veloppement dans les moteurs Ă  rĂ©action Les avancĂ©es dans le dĂ©veloppement des rĂ©acteurs ont notamment permis de rĂ©duire de maniĂšre significative le bruit Ă©mis par les moteurs de l’aviation civile par rapport aux moteurs utilisĂ©s depuis les annĂ©es 1950. Une partie importante de la rĂ©duction des Ă©missions sonores concerne la mise en Ɠuvre du flux secondaire dans les moteurs Ă  rĂ©action, Ă  savoir le dĂ©veloppement de moteurs Ă  rĂ©action Ă  partir de moteurs Ă  un jet et de turborĂ©acteurs. Alors que dans les premiĂšres gĂ©nĂ©rations de moteurs on n’utilisait pas ou trĂšs peu de courant latĂ©ral, les moteurs modernes produisent une grande partie de 80% de la poussĂ©e totale par la voie latĂ©rale, la distribution de masse d’air dans le courant latĂ©ral dans le courant principal taux de dilution » en partie dans la proportion de 12 1. Le moteur PW1124G, qui sera installĂ© entre autres sur l’Airbus 320neo, rĂ©duit le niveau de pression acoustique de 15 dB A selon le constructeur, et le moteur PW1521G dĂ©veloppĂ© par Bombardier mĂȘme Ă  20 dB A. Pour certains moteurs, il est possible d’installer des silencieux. Les avions plus anciens avec un taux de dilution plus faible peuvent – souvent seulement par la suite – ĂȘtre Ă©quipĂ©s de kits silencieux, qui rĂ©duisent, entre autres, les diffĂ©rences de vitesse entre le flux principal rapide et l’air ambiant. Les inconvĂ©nients des kits de silence sont les pertes de puissance du moteur. Les buses de chevrons» intĂ©grĂ©es aux moteurs du Boeing 787 suivent un principe similaire un bord de fuite en forme de zigzag du moteur est destinĂ© Ă  mieux mĂ©langer le flux secondaire avec l’air ambiant, rĂ©duisant ainsi les Ă©missions sonores. Une autre mesure constructive consiste Ă  utiliser de nouvelles buses d’échappement, qui mĂ©langent les gaz d’échappement avec l’air ambiant, ce qui rĂ©duit les Ă©missions sonores. MĂȘme dans les moteurs modernes, la distance entre le stator et la turbine du compresseur entraĂźne une rĂ©duction du son. D’autres moyens de rĂ©duire les Ă©missions sonores sont la modification de la gĂ©omĂ©trie des roues Ă  aubes du moteur ou l’utilisation de matĂ©riaux absorbant le bruit au niveau des entrĂ©es d’air du moteur. Une autre façon de rĂ©duire les Ă©missions sonores des moteurs est l’absence d’utilisation d’inverseurs de poussĂ©e plus puissants. L’inverseur de poussĂ©e peut ĂȘtre activĂ© lors de l’atterrissage immĂ©diatement aprĂšs l’atterrissage de l’avion. En raison de la dĂ©viation du jet moteur, la poussĂ©e des moteurs est avancĂ©e, de sorte que l’avion est dĂ©cĂ©lĂ©rĂ©. Dans l’aviation civile, toutefois, les avions ne sont gĂ©nĂ©ralement autorisĂ©s Ă  s’approcher des pistes que dans les aĂ©roports oĂč un atterrissage en toute sĂ©curitĂ© peut ĂȘtre garanti sans inversion de poussĂ©e. Ainsi, l’inversion de la poussĂ©e totale est de plus en plus Ă©vitĂ©e, car elle est liĂ©e au dĂ©marrage Ă  court terme des turbines Ă  des performances Ă©levĂ©es avec des Ă©missions sonores importantes. Turboprops et hĂ©licoptĂšres Dans les turbopropulseurs, le son Ă©mis est largement dĂ» aux hĂ©lices des moteurs. En modifiant la gĂ©omĂ©trie des pales, les hĂ©lices pourraient ĂȘtre rendues plus efficaces, ce qui explique pourquoi les vitesses de fonctionnement des hĂ©lices peuvent ĂȘtre rĂ©duites. La rĂ©duction de la vitesse rĂ©duit le bruit des avions et permet aux moteurs de fonctionner Ă  une puissance infĂ©rieure, rĂ©duisant encore le bruit. Un effet similaire s’applique aux hĂ©licoptĂšres en modifiant la gĂ©omĂ©trie de la pale du rotor, l’hĂ©licoptĂšre peut ĂȘtre utilisĂ© Ă  une vitesse infĂ©rieure dans les extrĂ©mitĂ©s des pales, ce qui pourrait rĂ©duire les Ă©missions. ProcĂ©dure d’approche La charge des rĂ©sidents de l’aĂ©roport dĂ©pend largement du choix de la mĂ©thode d’approche des avions, car, en fonction de la mĂ©thode choisie, un nombre diffĂ©rent de personnes prĂ©sentant diffĂ©rents niveaux de pression acoustique est chargĂ©. En plus de la mĂ©thode d’approche standard approche standard, dans laquelle la configuration finale de l’aĂ©ronef pour l’atterrissage volets Ă©tendus et train d’atterrissage Ă©tendu est atteinte assez tĂŽt, diverses autres mĂ©thodes sont actuellement testĂ©es et explorĂ©es. Dans certains cas, un soulagement considĂ©rable peut ĂȘtre observĂ© pour les rĂ©sidents de l’aĂ©roport. Une approche d’approche alternative importante est l’approche LP / LD Low Power / Low Drag Approach, dĂ©veloppĂ©e Ă  l’aĂ©roport de Francfort, avec les volets d’atterrissage et surtout le train d’atterrissage beaucoup plus tard – le LP / LD est le chĂąssis seulement cinq miles NM avant d’atteindre la piste prolongeaient, au contraire, la procĂ©dure d’approche standard dĂ©jĂ  douze NM avant. Une autre mĂ©thode est l’approche de descente continue, dans laquelle les phases de vol horizontales pendant la descente doivent ĂȘtre largement Ă©vitĂ©es. Cela permet aux moteurs de tourner au ralenti, tandis que la procĂ©dure d’approche standard nĂ©cessite une puissance moteur plus Ă©levĂ©e en raison des phases horizontales intermĂ©diaires. L’approche de descente continue peut donc entraĂźner des nuisances sonores, notamment dans la plage de 55 Ă  18 km devant la piste. Le dĂ©savantage de Gleitanflugverfahrens est qu’il est plus difficile Ă  rĂ©aliser avec un trafic croissant, car dans les avions de croisiĂšre, un vol horizontal est inĂ©vitable, donc aux heures de pointe dans de nombreux aĂ©roports, pas ou seulement partiellement – par exemple la nuit ou Ă  faible trafic – peuvent ĂȘtre utilisĂ©s, les plus grands aĂ©roports utilisant la procĂ©dure sont les aĂ©roports de Francfort et de Cologne / Bonn; De plus, la procĂ©dure sera testĂ©e dans d’autres aĂ©roports. Dans la phase finale de l’atterrissage, l’avion est placĂ© dans la balise du systĂšme d’atterrissage aux instruments et maintient donc un taux de descente fixe, ce qui explique pourquoi, Ă  environ 18 km d’avant la piste, Gleitanflugverfahren ne plus faisable. Une mĂ©thode plus ancienne, qui suit un principe similaire Ă  l’approche de descente continue, est l’approche en deux segments approche Ă  deux segments, dans laquelle, dans le premier segment, un angle d’approche raide est sĂ©lectionnĂ©. valeur spĂ©cifiĂ©e. La rĂ©duction de la pollution sonore des avions se produit notamment par les zones survolĂ©es Ă  plus haute altitude; Les inconvĂ©nients sont, en raison du taux de chute plus Ă©levĂ©, des problĂšmes de sĂ©curitĂ© et de moins de confort pour les passagers. Angle d’approche Par dĂ©faut, les avions coulent Ă  un angle de 3 °, ce qui est la norme OACI. Si cet angle est augmentĂ©, il faut donc couler l’avion. En approche finale avec un taux de descente plus Ă©levĂ©, l’endroit oĂč l’approche finale est lancĂ©e s’est dĂ©placĂ© en consĂ©quence plus prĂšs de la piste. En consĂ©quence, les aĂ©ronefs survolent une certaine zone autour de la piste, ce qui rĂ©duit la pollution sonore. Des angles d’approche autres que 3 degrĂ©s ne sont possibles que dans le mode de vol toutes saisons CAT I. Dans le cas des opĂ©rations aĂ©riennes tous temps CAT II et III, selon l’approche PANS-OPS de l’OACI Doc 8168, une approche obligatoire Ă  3 degrĂ©s l’angle doit ĂȘtre observĂ©. ProcĂ©dure de dĂ©part Aussi dans le contexte du dĂ©part peut ĂȘtre rĂ©duit en choisissant la procĂ©dure de dĂ©part, l’émission de bruit. Tout d’abord, les moteurs doivent fonctionner Ă  haute puissance au dĂ©marrage afin d’atteindre une vitesse suffisante pour un dĂ©marrage en toute sĂ©curitĂ© et un dĂ©crochage Ă  Ă©viter. Cependant, une fois qu’une altitude sĂ»re et une vitesse suffisamment Ă©levĂ©e pour une condition de vol stable sont atteintes, la puissance des moteurs peut ĂȘtre arrĂȘtĂ©e. La mĂ©thode de rĂ©duction du bruit, mise au point aux États-Unis en 1978, prĂ©voit de rĂ©duire la poussĂ©e au dĂ©collage de 300 mĂštres au-dessus du sol, poursuivant ainsi la descente avec un angle de montĂ©e rĂ©duit. Lorsque vous atteignez une vitesse de 250 nƓuds 460 km / h, le taux de montĂ©e augmente Ă  nouveau. En premier lieu, cette mĂ©thode permet d’économiser beaucoup de kĂ©rosĂšne, mais la faible altitude de seulement 300 mĂštres au-dessus du sol entraĂźne des niveaux de bruit Ă©levĂ©s pour les habitants de la zone survolĂ©e. Une procĂ©dure de dĂ©part Ă©laborĂ©e par l’Association du transport aĂ©rien international IATA recommande de monter Ă  1500 pieds 450 mĂštres avec une puissance maximale, puis d’arrĂȘter la puissance du moteur et de la relever Ă  une altitude de 3 000 pieds 900 mĂštres. Cette procĂ©dure de dĂ©part soulage les rĂ©sidents de l’aĂ©roport, mais entraĂźne une augmentation de la consommation de carburant. Ainsi, 14 profils diffĂ©rents ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s pour diffĂ©rents modĂšles d’aĂ©ronef afin de prendre en compte les caractĂ©ristiques de l’aĂ©ronef. ItinĂ©raires de vol En principe, lors de la dĂ©termination des itinĂ©raires de vol, des tentatives sont faites pour Ă©viter de survoler les zones mĂ©tropolitaines et de concevoir les itinĂ©raires de vol de maniĂšre Ă  ce que les zones Ă©crĂ©mĂ©es soient de prĂ©fĂ©rence survolĂ©es. Cela soulĂšve la question de savoir dans quelle mesure l’avantage d’une communautĂ© plus vaste bien commun au dĂ©triment des habitants des zones Ă  faible densitĂ© de population est justifiable. Le choix de l’itinĂ©raire de vol normalisĂ© dans le cadre de la planification de l’espace aĂ©rien ainsi que les dĂ©viations Ă  court terme par rapport Ă  cet itinĂ©raire de vol, gĂ©nĂ©ralement par le contrĂŽleur de la circulation aĂ©rienne, dĂ©pendent de facteurs nombreux et parfois complexes. L’évitement du bruit des avions joue un rĂŽle important, mais est fondamentalement subordonnĂ© Ă  la sĂ©curitĂ© des vols. Introduction de zones de protection contre le bruit Les zones de protection contre le bruit sont des zones situĂ©es autour d’un aĂ©roport, qui sont soumises Ă  des rĂ©glementations et Ă  des exigences spĂ©ciales en matiĂšre de protection contre le bruit. En Allemagne, ils sont basĂ©s sur le FluLĂ€rmG; le calcul de la conception des zones de protection contre le bruit ainsi que les conditions individuelles Ă©mises sont effectuĂ©s par des modĂšles mathĂ©matiques. Vous trouverez une brĂšve description des zones de protection contre le bruit dĂ©finies par la sociĂ©tĂ© allemande FluLĂ€rmG et la situation dans d’autres pays dans la section relative Ă  la situation juridique. BĂątiments de protection contre le bruit Il existe de nombreuses maniĂšres de construire des bĂątiments anti-bruit et de protĂ©ger ainsi les rĂ©sidents de l’aĂ©roport contre le bruit des avions. Certains bĂątiments de protection contre le bruit sont utilisĂ©s directement Ă  l’aĂ©roport, de sorte que les essais de moteurs nĂ©cessaires sont effectuĂ©s dans les grands aĂ©roports des halls de protection contre le bruit, ce qui rĂ©duit considĂ©rablement le bruit Ă©mis dans l’environnement par l’isolation acoustique. MĂȘme les murs d’insonorisation peuvent attĂ©nuer le bruit Ă©mis par un aĂ©roport – mais cela ne concerne que trĂšs peu le bruit des avions qui dĂ©collent et atterrissent, car ils se situent trĂšs rapidement au-dessus des murs antibruit et le bruit des avions affecte les rĂ©sidents de l’aĂ©roport sans encombre. Une mesure importante des rĂ©sidents Ă  proximitĂ© de l’aĂ©roport est l’utilisation de systĂšmes de ventilation insonorisĂ©s et de fenĂȘtres insonorisĂ©es, qui rĂ©duisent le bruit atteignant l’intĂ©rieur de l’appartement grĂące Ă  l’étanchĂ©itĂ© accrue et Ă  l’utilisation de vitres spĂ©ciales d’épaisseur diffĂ©rente. Les fenĂȘtres insonorisĂ©es sont divisĂ©es en six classes, la classe la plus Ă©levĂ©e pouvant absorber plus de 50 dB A de son. Interdiction de vol de nuit La question des interdictions de vol de nuit est une autre mesure qui sert notamment Ă  protĂ©ger le sommeil de la population. Cependant, les interdictions de nuit n’empĂȘchent gĂ©nĂ©ralement pas, comme leur nom l’indique, tous les vols de nuit, mais restreignent plutĂŽt les dĂ©collages et les atterrissages d’aĂ©ronefs dans les aĂ©roports la nuit. Dans l’allemand FluLĂ€rmG, une interdiction de vol de nuit n’est pas prĂ©vue, mais il existe dans tous les aĂ©roports allemands des autorisations d’exploitation pour le dĂ©collage et l’atterrissage pendant la nuit. La pĂ©riode de validitĂ© des interdictions de vol de nuit est rĂ©glĂ©e individuellement pour chaque aĂ©roport, ainsi que la mise en Ɠuvre exacte. Par exemple, malgrĂ© l’interdiction des vols de nuit, les dĂ©collages et les atterrissages nocturnes sont autorisĂ©s Ă  certaines fins des vols tels que les vols postaux ou les vols de sauvetage ou les modĂšles d’avion de certaines catĂ©gories de bruit dans la plupart des aĂ©roports. Programmes d’attĂ©nuation du bruit Aux États-Unis, depuis que le bruit de l’aviation est devenu un problĂšme public Ă  la fin des annĂ©es 1960, les gouvernements ont mis en place des contrĂŽles lĂ©gislatifs. Les concepteurs d’aĂ©ronefs, les constructeurs et les exploitants ont mis au point des appareils plus silencieux et de meilleures procĂ©dures d’exploitation. Les turborĂ©acteurs Ă  double dĂ©rivation modernes, par exemple, sont plus silencieux que les turborĂ©acteurs et les turborĂ©acteurs Ă  faible contournement des annĂ©es 1960. PremiĂšrement, la certification des aĂ©ronefs de la FAA a permis d’atteindre les rĂ©ductions de bruit classĂ©es dans la catĂ©gorie des avions de la phase 3; qui a Ă©tĂ© mis Ă  niveau Ă  la certification acoustique Stage 4 », ce qui a permis de crĂ©er des avions plus silencieux. Cela a entraĂźnĂ© une diminution des expositions au bruit en dĂ©pit de la croissance du trafic et de la popularitĂ©. SystĂšmes de navigation par satellite Une sĂ©rie d’essais ont Ă©tĂ© entrepris Ă  l’aĂ©roport d’Heathrow, Ă  Londres, entre dĂ©cembre 2013 et novembre 2014, dans le cadre de la stratĂ©gie future de l’espace aĂ©rien» du Royaume-Uni et du projet europĂ©en de modernisation du ciel unique europĂ©en». Les essais ont dĂ©montrĂ© que l’utilisation de systĂšmes de navigation par satellite permettait de rĂ©duire le bruit dans un plus grand nombre de communautĂ©s environnantes, mĂȘme si cela entraĂźnait une augmentation inattendue des nuisances sonores 61 650 en raison des trajectoires de vol concentrĂ©es. L’étude a rĂ©vĂ©lĂ© que les angles de dĂ©collage et d’atterrissage plus raides rĂ©duisaient le bruit des avions et permettaient de rĂ©duire le bruit en utilisant des trajectoires de vol plus prĂ©cises, permettant ainsi de contrĂŽler l’empreinte sonore des aĂ©ronefs au dĂ©part. Le soulagement du bruit pourrait ĂȘtre amĂ©liorĂ© en changeant les trajectoires de vol, par exemple en utilisant une trajectoire de vol le matin et une autre l’aprĂšs-midi. Les progrĂšs technologiques Conception du moteur Les turborĂ©acteurs Ă  grande vitesse Ă  passage direct modernes sont non seulement plus Ă©conomes en carburant, mais Ă©galement beaucoup plus silencieux que les turborĂ©acteurs anciens et les turborĂ©acteurs Ă  faible contournement. Sur les nouveaux moteurs, les chevrons rĂ©duisant le bruit rĂ©duisent encore le bruit du moteur, tandis que sur les moteurs plus anciens, les utilisateurs de kits silencieux sont utilisĂ©s pour attĂ©nuer leur bruit excessif. Emplacement du moteur La capacitĂ© de rĂ©duire le bruit peut ĂȘtre limitĂ©e si les moteurs restent sous les ailes de l’avion. La NASA s’attend Ă  un niveau cumulĂ© de 20 Ă  30 dB en dessous des limites de la phase 4 d’ici 2026-2031, mais la rĂ©duction du bruit dans les limites des aĂ©roports nĂ©cessite une rĂ©duction d’au moins 40 Ă  50 dB. Le train d’atterrissage, les lattes d’ailes et les volets d’ailes produisent Ă©galement du bruit et peuvent devoir ĂȘtre protĂ©gĂ©s du sol par de nouvelles configurations. La NASA a constatĂ© que les nacelles Ă  voilure supĂ©rieure et Ă  fuselage intermĂ©diaire pouvaient rĂ©duire le bruit de 30 Ă  40 dB, voire de 40 Ă  50 dB pour le corps d’aile hybride, ce qui pourrait ĂȘtre essentiel pour les rotors ouverts. D’ici 2020, les technologies d’hĂ©licoptĂšres en cours de dĂ©veloppement, ainsi que les nouvelles procĂ©dures, pourraient rĂ©duire les niveaux de bruit de 10 dB et les empreintes sonores de 50%, mais des progrĂšs supplĂ©mentaires sont nĂ©cessaires pour prĂ©server ou Ă©tendre les hĂ©liports. Les UAS de livraison de colis devront caractĂ©riser leur bruit, Ă©tablir des limites et rĂ©duire leur impact. Navigation de l'article . C’est en prenant l’avion rĂ©cemment que je me suis demandĂ© quelle devait ĂȘtre la vitesse de l’appareil au moment du dĂ©collage. En effet, l’accĂ©lĂ©ration que l’on ressent jusqu’au moment de quitter le sol ne semble pas dĂ©croitre, ce qui signifie qu’une vĂ©locitĂ© assez importante est requise avant de s’envoler. AprĂšs quelques recherches sur le web, il semblerait que la vitesse nĂ©cessaire soit diffĂ©rente selon l’appareil masse et forme de l’appareil et les conditions climatiques qui influent sur la densitĂ© de l’air je rappelle pour que le dĂ©collage ait lieu, il faut que la force qui soulĂšve l’appareil soit supĂ©rieur au poids de ce dernier donc la qualitĂ© » de l’air est trĂšs importante ; une rĂ©ponse gĂ©nĂ©rale n’est donc pas possible dĂ©cidĂ©ment, ça me rappelle quelque chose
. . NĂ©anmoins, il est possible de se faire une petite idĂ©e d’un ordre de grandeur selon les tailles des appareils . Petits coucous 110 Ă  180 km/h Avions de taille moyenne du type Boeing 727 ou 737 300 Ă  370 km/h Jumbo jets du type Boeing 747 370 Ă  420 km/h . Quand on pense que les avions pĂšsent des milliers de tonnes, pour les plus gros appareils, ça force le respect ! 02 novembre 2020 Sommeil perturbĂ©, systĂšme cardiovasculaire dĂ©sĂ©quilibré  Les effets sur la santĂ© du bruit permanent des avions prĂšs des aĂ©roports sont loin d’ĂȘtre anodins. Une Ă©tude vient confirmer en France ce que d’autres travaux avaient dĂ©jĂ  montrĂ© dans d’autres pays. On savait dĂ©jĂ  que vivre Ă  proximitĂ© d’un aĂ©roport augmentait le risque d’hypertension artĂ©rielle. En tout cas pour les hommes. Une nouvelle Ă©tude commandĂ©e par la Direction gĂ©nĂ©rale de la santĂ© et l’AutoritĂ© de contrĂŽle des nuisances aĂ©roportuaires a cherchĂ© Ă  dĂ©terminer l’étendue des effets du bruit des avions sur la santĂ© des riverains. Le constat n’est pas glorieux mais peu surprenant, Ă©tant donnĂ©s les rĂ©sultats de prĂ©cĂ©dents travaux. L’étude intitulĂ©e Debats pour Discussion sur les effets du bruit des aĂ©ronefs touchant la santĂ© » a permis de suivre 1 244 riverains des aĂ©roports de Paris-Charles de Gaulle, Lyon-Saint-ExupĂ©ry et Toulouse-Blagnac Ă  partir de 2013. Des informations concernant leur Ă©tat de santĂ© et leur mode de vie on Ă©tĂ© recoupĂ©es avec l’exposition au bruit des avions au domicile estimĂ©e Ă  partir des cartes de bruit produites par la Direction gĂ©nĂ©rale de l’aviation civile DGAC. Sommeil, cƓur et santĂ© mentale RĂ©sultats, sur le sommeil d’abord. Une association statistiquement significative a Ă©tĂ© trouvĂ©e entre l’exposition au bruit des avions et une durĂ©e totale de sommeil de moins de 6 heures d’une part et une sensation de fatigue aprĂšs une nuit de sommeil habituelle d’autre part », notent les auteurs. Ensuite, un risque augmentĂ© d’hypertension a bien Ă©tĂ© mis en Ă©vidence chez les hommes, confirmant ainsi les constats de prĂ©cĂ©dents travaux. Et appuyant l’idĂ©e que l’exposition au bruit a bien un impact sur le systĂšme cardiovasculaire. Et quel impact sur la santĂ© mentale ? La proportion de personnes fortement gĂȘnĂ©es par le bruit des avions augmente de maniĂšre statistiquement significative lorsque l’exposition au bruit des avions augmente ». SuggĂ©rant par la mĂȘme un impact sur le bien-ĂȘtre et la santĂ© mentale en gĂ©nĂ©ral. Source BEH, octobre 2020 Ecrit par Dominique Salomon - EditĂ© par Emmanuel Ducreuzet Le docteur Jean Claude Deslandes persiste et signe un palpitant deuxiĂšme roman situĂ© dans la CĂ©venne profonde, proche du terroir gangeois, intitulĂ© La FiĂšvre de l’Or. L’intrigue s’appuie sur des faits historiques puisqu’il s’agit du crash du Potez 662 dans lequel avaient pris place 7 passagers dont le plus cĂ©lĂšbre Ă©tait le gĂ©nĂ©ral Huntziger, celui-lĂ  mĂȘme qui avait signĂ© pour la France l’armistice du 22 juin 1940 dans la clairiĂšre de Rethondes. L’avion brĂ»le Ă  proximitĂ© du col du MinierLe gĂ©nĂ©ral revenait, ce 12 novembre 1941, d’une tournĂ©e d’inspection en AlgĂ©rie et son avion avait dĂ©collĂ© le matin mĂȘme de l’aĂ©rodrome de la Maison Blanche en direction de Vichy-RhuĂ©. Le vol se complique, la mĂ©tĂ©o est dĂ©sastreuse et le pilote annonce que l’appareil fait demi-tour pour rejoindre Marseille, sans prĂ©cision supplĂ©mentaire. Le bruit des moteurs est entendu par des jeunes gens appartenant au chantier de jeunesse 18, puis c’est le choc et l’explosion. Il est un peu plus de 13 heures et l’avion brĂ»le, Ă  quelques centaines de mĂštres du col du Minier. Les "chantiers" sont les premiers sur place, aucun survivant et ils dĂ©couvrent la sacoche du gĂ©nĂ©ral Huntziger suspendue Ă  un arbre. Il est vraisemblable que le gĂ©nĂ©ral a rĂ©ussi Ă  la jeter juste avant le crash. Plusieurs questions se posent. La mission en AlgĂ©rie Ă©tait trĂšs imprĂ©cise, sans motif l’avion a-t-il fait demi-tour ? Incident mĂ©canique ou bien
 ? Les faits historiques s’arrĂȘtent lĂ . Maintenant, place aux rĂȘves ! Que transportait rĂ©ellement cet avion ? Des bruits ont couru qu’un chargement "prĂ©cieux" se trouvait Ă  bord. Il n’en faut pas plus pour exciter les convoitises et on voit bientĂŽt arriver dans la rĂ©gion du Vigan des individus dont le moins qu’on puisse dire est qu’ils ne semblent pas vraiment cĂ©venols. Deux groupes mafieux vont s’opposer mais trouveront-ils ce qu’ils sont persuadĂ©s ĂȘtre "prĂ©cieux", dans l’avion ?Correspondant Midi Libre 06 88 49 50 92

bruit d un avion qui décolle